visite son cousin (pv Orihime)

Orihime n'était plus allée au gymnase depuis longtemps.En plus avec son bras comment elle y arriverait?

"Heu...Non,ça fait longtemps que j'étais plus aller en plus avec mon bras j'arriverai pas vraiment.

Puis elle souria à Naizen en ésperant que il lui demanderait pas comment elle s'étais fait mal.L'inquiétude d'Orihime montait de plus en plus.

*Comment pourrais-je me suicidé un jour en sachant que je le ferai souffrir.*

Il se doutait bien qu'avec son bras, elle ne pourrait plus faire les mêmes choses qu'avant, mais elle pourrait sûrement s'entraîner de manière différente et sans utiliser son bras, mais enfin, c'était elle qui voyait. La douleur semblait lui avoir passer, ce qui le réjouissait un peu, car il n'aimait pas savoir qu'elle souffrait. Il espérait bien qu'il n'aurait plus jamais à vivre l'angoisse qu'un moment comme celui au cimetière lui avait donnée.

Il voyait un peu le stress d'Orihime, certain signe très peu visible la trahissait, ce qu'il fit attention de ne pas trop se préoccuper, pour ne pas le révéler à tout le monde présent. Il posa sa main sur l'épaule d'Orihime pour l'apaiser, si jamais la conversation allait vers un sujet trop délicat à son goût, il s'organiserait pour le changer.

" Tu voudrais travailler dans quel domaine plus tard? "

Il savait qu'Orihime était indécise, mais il ne voulait pas répondre à Arisa, car c'était en répondant à leur question qu'Orihime pourrait bien s'entendre avec eux et pouvoir faire en sorte que les trois personnes présente, trois personnes très importante à ces yeux, s'entendent bien. Il descendit sa main de sur l'épaule à Orihime, pour retourner prendre sa main.

[Je sais que la question n'est pas très original, mais j'ai un léger manque d'inspiration Razz

]

"Heu...Enfaite,je ne sais pas trop encore.J'essaie de m'échapper tout le temps de cette question

Orihime essayait tout le temps de s'échapper de cette question,elle avait aucune idée parce que avec son manque de sommeil,elle réfléchie pas vraiment à ses choses là.En plus avec ses pensées suicidaires c'est pas la joie.-_-"

*Pourquoi est-ce que cette question arrête pas de tourner dans ma tête.Devrais-je me suicider ou pas?*

Orihime se mordait la lévre en réflechissant à cette question qui l'a embêter jour et nuit.

Le repas se déroulait dans une bonne ambiance, enfin, selon lui. Il ne parlait pas vraiment beaucoup, écoutant en mangeant, plaçant un mot ou deux à l'occasion. Sa ressemblait à avant, il n'avait jamais parler beaucoup, préférant écouter pour apprendre. Comme tout se déroulait bien, il ne voyait pas non plus le besoin d'intervenir.

Quand tous eurent fini de manger, Naizen et lui firent la vaisselle, car c'était Arisa et Orihime qui avait fait à manger. Quand tout cela fut fait, il commençait à être temps de rentrer, l'après midi et le souper ayant été agréable, il devait maintenant retourner à la vie normal au pensionnat, mais bon. Il s'approcha doucement d'Orihime et l'enlaça à la taille.

" Je croit qu'il serait temps de partir. "

"Oui,ta raison.Il est temps de partir."

Puis Orihime l'enlaça avec ses bras.Et elle lui souria doucement avant de dire.

"Viens,on va leur dire aurevoir."

*Devrais-je me suicider ou pas?Je lui demanderais si il m'en voudrait de le faire.En plus si je le faisais il se remmetrait.Enfin j'éspere.

Elle semblait préoccuper par quelque chose depuis un certain moment, mais quoi? Il se dit que ce devait être la rencontre avec son cousin et Arisa, il ne posa donc pas de question, car il se disait que ce n'était que normal et que ça passerait. Il l'embrassa doucement et se dirigea vers l'endroit ou Naizen et Arisa attendait.

" Il est temps de partir pour nous, merci de nous avoir reçu, j'ai vraiment aimé. "

Il serra la main de Naizen et fit un signe d'au revoir à Arisa, ça avait toujours été ainsi, des salutations simples. Il se alla à la porte et en l'ouvrant, il entendit son cousin.

" Tu m'avais dit de prendre bien soin d'Arisa, que je ne trouverais pas meilleur fille pour moi, il en est de même pour toi. Allez vous deux, à une prochaine fois. "

Puis se fut au tour d'Arisa de les saluer.

" Oui, si jamais vous voulez faire un tours, juste à appeler. "

Arbagon leur dit bonjour, content de voir qu'ils avaient eu aussi apprécié. Quand tous eu fini de se dire au revoir, il passa la porte et la referma. Marchant dans le couloir vers la sortit de l'immeuble, la rencontre lui avait fait du bien.

" Ça ta plu? "

"J'étais trés contente de faire votre connaissance j'éspere que on pourra se revoir.Aurevoir et merci pour le diner."

Puis elle leur faisa un signe de la main en disant à une prochaine fois.Quand ils sortirent de l'immeuble Arbagon demanda à Orihime si ça lui avait plus,elle lui réponda.

"Oui ça m'as plue j'éspere que on les a pas trop embêtée et que on pourra revenir.Je suis trés contente que tout c'est bien passé."

Orihime lui souria et prit sa main dans la sienne l'enlaça.Puis elle lui démanda.

"Est-ce que tu serrais triste que je meurs?"

Il était content qu'Orihime est apprécier. Il savait qu'ils ne les avaient pas été embêter et il aurait été surpris que cela ne se passe pas bien, mais on ne sait jamais. Qu'elle sente bien avec eux le rassurait et le donnait une certaine joie, car il savait savait que si jamais Orihime avait un problème, elle pourrait compter sur eux. Quand elle lui demanda s'il serait triste de sa mort, il se raidit immédiatement. Inconsicement, il ressera un peu l'étreinte de sa main sur celle d'Orihime.

" Si je serais triste? "

Des souvenirs revinrent dans sa tête. Il avait fait tant de promesse, dont plusieurs à lui-même, qu’il ne pouvait plus faire aujourd’hui. Comment pourrait-il l’empêcher de s’enlever la vie si jamais elle le décidait ? Son attitude insensible avait quelque peu craquer en entendant la question, sa nervosité était très légèrement visible et ses yeux montraient bien qu’il lui serai très difficile de s’en remettre.

" Dans la perspective où tu mourrerais, je pense que je ne serait que plus froid et indifférent avec les autres, que je ne pourrait contrôler ma colère et ma peine, mon monde basculerait et j’aurais tellement de difficulté à m’en remettre, si jamais j’en serai capable. "

Il posa une main sur sa joue. Ce visage qu’il avait vu pour la première fois, avec un sourire, celui qui avait su venir le chercher. Il l’embrassa, tendrement, passionément, il ne voulait pas la perdre. Il ne pouvait laisser une personne si précieuse partir, il ne voulait pas avoir à voir son corps froid et immobile.

" Je ne veux pas te perdre, j’ai besoin de toi, je t’aime tellement "

Ce n’était qu’un faible murmure, qu’il avait prononcé à Orihime, qui trahissait ce qu’il ressentait à l’idée de la perdre.

"Moi non plus je ne veux pas te perdre.Si je te perdais un jour je ne sais pas ce que je ferai.Je t'aime beaucoup.

Lorsque Orihime finie sa phrase elle le prit dans ses bras le serra fort et elle lui murmura.

"Mais un jour viendra où mes pensées suicidires reviendront et que je pourrais pas résister,je ne veux pas te faire souffrir.

Elle le serra plus en plus dans ses bras et commencait à faire tomber des larmes.

Que dire? Que faire? Que penser? Elle avait besoin de son aide, mais il avait peur d'empirer la situation, il savait que c'était la pire personne pour l'aider. Il se sentait un peu mal qu'elle pleure, il n'aimait pas la voir dans cet état, cela non plus il ne le comprenait pas, normalement les larmes ne l’atteignaient jamais et maintenant, les larmes d'Orihime l’affectaient. Pourquoi la vie était-elle si compliquer.

" Je sais bien que la vie n'est pas facile, mais un problème doit être affronter et on ne doit pas le fuir, car cela est vraiment la pire solution, je sais, crois-moi. J'aimerais te promettre d'effacer complètement ta souffrance, te dire que je te protégerais de mille légions de maux, mais cela m'est impossible et ce n'est pas ce qui t’aidera à devenir forte. Cependant, si jamais il y a une chose que je peux faire, n'importe quoi, dis moi le, je le ferai. "

Sa tête lui faisait mal, il voyait le futur, la douleur, le passer, les remords. Il lui disait de ne pas fuir, mais lui le faisait encore aujourd'hui pour certaines choses, elle serait en droit de lui en vouloir pour tenter de lui faire la morale. Il était confus, trop de choses contradictoires traversait ses pensées, il ne savait plus quoi faire. Il sentit ses genoux heurter le sol, il était tombé à genoux. La main de celle qu'il aimait contre son front.

" Je te donne ma vie si tu le veux, je te promet fidélité, honneur et respect. J'affronterai 10 milles hommes si tu me le demanderais, je ferai n'importe quoi, je te demande seulement de rester en vie, juste cela. Si jamais tu avais des pensées trop difficiles, tu peux venir me voir, tu peux venir les voir eux aussi, il t'ouvrirons leur porte avec plaisir et t'aideront autant qu’ils le pourront. S'il te plait, s'il te plait. "

Il tremblait, il serrait la main la main d'Orihime très fort, il se sentait déboussoler. Et pourtant, il savait très bien que des paroles, restaient des paroles, bien qu'il respecterait chacun d'entre elle si le besoin était. Il n'avait jamais eu peur de perdre quelqu'un, il avait toujours été indifférent à la souffrance des autres, pourquoi celle d'Orihime le rendait si faible, pourquoi ne pouvait-il juste pas en être très triste et rester fort, pourquoi? Il gardait les yeux au sol, il ne voulait pas montrer sa soudaine faiblesse à Orihime.

Orihime se sentait mal de l'avoir mit dans ce état.Elle tomba à genoux prêt de lui le prit dans ses bras et lui dit doucement.

"Je suis trop faible pour les affronter toute seule.Et je voulais te dire quand j'étais dans la cuisine j'ai entendue ce que tu disais à Naizen.Tu disais que ce cauchemar te honter encore quand j'ai démandé à Arisa c'était quoi ce cauchemar elle m'a répondue que c'était à propos de ce que c'était passé avec la fille et les 3 garçons.Je crois que tu le fuies aussi pourquoi pas moi?Je t'aiderai à oublier ce mauvais souvenir je te le promet.En plus arrête de dire de tels choses, je ne pourrais jamais me pardonner si tu me donnes ta vie,ta pas besoin non plus de me promettre fidélité, honneur et respect tu fais ce que tu veux je ne déciderais jamais sur tes choix.Et je te demanderais jamais de affronter 10 mille hommes."

Elle s'arrêta de parler pour quelque secondes et leva un peu sa tête pour voir ses yeux qui regardaient le sol.Puis elle lui dit.

"Et je te promet de venir te voir si j'arriverais plus à supporter tout ses pensées."

Même si Orihime s'était agenouiller près de lui pour le prendre dans ses bras, il regardait encore le sol, il ne se sentait pas assez fort pour la regarder, il ne voulait qu'elle le voit ainsi, cette faiblesse soudaine lui était désagréable. Il n'aimait pas afficher ce genre de moment et encore moins quand il ne savait pas pourquoi il était dans cet état.

Elle avait donc entendu ce qu'il avait dit avec Naizen, il ne voulait pas qu'elle tente de prendre sur elle quelque chose lier à tout cela, il ne pourrait pas l'oublier et il ne se sentait pas la force d'affronter la réalité, mais il fuyait lui aussi, elle était en droit de lui dire. Pour ce qui était de sa vie, qu'elle lui dise tout cela ne changerait rien, il le ferait si jamais cela était nécessaire. Quand au reste, cela lui importait peu, car il savait très bien qu'elle ne lui demanderait jamais cela. Rassemblant ses forces, il se calma et réussi à reprendre un visage qui ne démontrait plus la faiblesse qui l'habitait.

" Je ne le cacherait pas, oui je fuis certains points de mon passés, je ne veut pas le nier, mais c'est pour ça que je ne veut pas que tu le fasse. C'est en affrontant la réalité qu'on peut l'accepter, mais je ne t'y forcerais pas si je ne peux le faire moi-même, ne t'inquiètes pas. Tu n'as pas non plus à prendre en charge de me faire oublier, je sais que c'est cela est impossible, crois moi tu en fais déjà énormément, peut-être un jour aurais-je la force d'arrêter de fuir, peut-être. "

"J'ai envie de te la faire oublier je ne le prends pas comme un ordre donner par quelque un.En plus tu dis que je fais déja énormement je trouve que j'ai rien fait pour te rendre vraiment heureux."

Elle le regarda dans les yeux,se leva et lui dit.

"Aller léve-toi on doit encore marcher pour arriver au pensionnat.Si tu veux pas que on aille quelque part d'autre,bien-sûr."

Il se releva et aida Orihime à en faire autant. Comme à son habitude, il s'adossa au mur juste derrière lui, rentrer au pensionnat ou aller quelque part. Il n'en avait aucune idée, il avait seulement envie de ... de quoi? Il voulait disparaître ou devenir invisible, après tout ce qui venait d'arriver, il n'avait plus vraiment idée de ce qui pourrait lui être sympathique ou non. Il contrôla le ton de sa voix du mieux qu'il pouvait.

" Je ne sais pas. Tout est si compliquer, trop. Je me sens si faible, mais je ne sais même pas pourquoi. Il me semble que retourner au pensionnat serait fade et sans intérêt, mais aller quelque part me semble inconcevable dans cette soudaine faiblesse. "

Il quitta le mur et se rapprocha. Il passa ses bras autours de ses épaules, collant sa joue contre celle d'Orihime, lui murmurant doucement à l'oreille.

" Tu penses n'avoir rien fait, j'ai appris à me contenter de choses simples, je n'ai pas besoin de grand chose de ta part pour le moment, seulement ce que tu fais déjà. Tu m'as accepter, tu m'es toujours apparue de bonne humeur, l'amour que nous partageons, je peut le sentir et le percevoir, je n'ai pas besoin de plus, si en plus tu tente de supporter le fardeau que je m'impose à moi même, en plus du tient, j'ai peur que tu en souffre trop. Tu as déjà fait entrer un peu de lumière dans les méandres de mon esprit, c'est à moi de trouver la partie manquante et à me pardonner. "

Il la serra contre lui, il l'aimait tant, qu'elle souffre pour lui ne lui plaisait pas, il devait faire un bout de chemin par lui même dans son esprit. De la sentir contre lui semblait apaisant et réconfortant, ce qu'elle avait fait pour lui, elle le faisait de façon naturel, c'était ce qui faisait la beauté de la chose, ce qui l'avait fait cédez à son charme. Jamais il ne lui demanderais de lui donner une preuve de son amour, jamais il ne lui demanderais de faire quelque chose pour celui-ci, elle le faisait seule, chaque chose venant au moment où ils seraient prêt.

Il se dit qu'aller en ville n'était pas une bonne idée, pas dans son état présent, pour plusieurs raisons. Mais il voulait qu'elle reste avec lui, il ne voulait pas la quitter immédiatement, trop de chose était arrivé aujourd'hui et sa présence semblait nécessaire pour lui. Il se décida donc à retourner au pensionnat.

" Je crois que retourner au pensionnat serait mieux, on peut toujours trouver un moyen de se voir là-bas, sa ne devrait pas être si compliquer, je crois. "

"C'est qui me ferait le plus souffrir c'est de te voir triste.Oui ta sûrement raison on devrait retourner au pensionnat."

Elle lui caréssa sa joue avec douceur en regardant ses yeux.Elle voudrait que ce moment dure encore et pour toujours mais c'était impossible.Puis elle lui démanda.

"Tu crois vraiment que on pourrait se voir là-bas?"

Comment ne pas lui montrer sa souffrance, il se doutait qu'elle réagissait pareillement à lui, il en était content et déçu en même temps. Content de voir qu'elle tenait à lui, mais déçu de savoir qu'elle aurait sûrement à le voir souffrir d'autre fois. Il sentait les doigts d'Orihime sur sa joue, le moment était si précieux, comme tant de fois, chose qu'il ressentait depuis tout récemment.

" Oui, on va se revoir j'en suis sûr, je ne veut pas te quitter, pas maintenant. Il faudrait vraiment quelque chose de très découragent pour m'empêcher de nous réunir. "

Il ne savait pas comment, mais il la reverrait dans le pensionnat en entrant. Il se dit qu'il y avait plusieurs méthodes, mais il n'arrivait pas à choisir laquelle. Peut lui importait, tant qu'il serait avec elle, se serait pour le mieux. Il embrassa tendrement Orihime, avant de reprendre la route pour le pensionnat avec elle, gardant un vide contant dans son esprit, pour évitez de revivre une telle faiblesse une nouvelle fois.

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