Une chambre [pv Gin]

Nimiki ouvrit la porte, sans vraiment frapper. Cette chambre était occupé par quelqu'un. Bien sûr, la porte lui rappelait beaucoup de chose. Elle découvrit Elias, c'était bien lui. Il était assit sur le lit, à rêvasser, attendant un évenement et justement voila cet évenement. Regardant la piece, qui n'avait pas du tout changé, elle ouvrit la fenêtre, comme une mère entrant dans la chambre de son fils. L'air fit du bien à tout le monde et elle présenta les deux personnes.

"Elias voici Gin. Gin voici Elias."

Les regardant se regarder, d'un air bizzare, il finirent par se lancer un sourire. Nimiki s'assit sur le lit, attendant qu'ils parlent.

Gin et nimiki arrivèrent dans la chambre ou il y avait déja quelq'un.
nimiki fit les présentations : il s'appellait Elias.


"salut elias, heureux de partager ma chambre avec toi !!!"

[i]Gin lui rendit son bvonjour d'un signe de tete puis commença a regarder la pièce.

" alors c'est sa ma chambre ? sympa !! "

gin posa ses affaires puis s'assit sur son lit.
il ne savait pas tellement de quoi parlé, ili attendit que elias ou nimiki disent quelque chose.

Elias regarda le nouvel arrivant, qui était un peu trop enthousiaste à son goût. Lui qui aimait être tranquille, ça n'allait pas être gagné.
Il examina le jeune homme qui se trouvait maintenant en face de lui.
Voyant qu'il attendait de lui une question, ou une parole, il avisa.

"Quel âge as-tu ?"

Gin vit que Elias était "déçu" de sa bonne humeur.

*pourquoi est-il déçu ? il n'aime pas rire ? espérons que ce ne soit pas cela c'est triste quelqu'un qui n'aime pas rire ...*

Elias lui demandait son age, il lui répondit :

" j'ai 16 ans."

Gin n'avait pas tellement envie de parler il voulait voir comment était le pensionnat.

"bon et bien ravi de te connaître elias, et ravi de partager ma chambre avec toi. je vais dehors decouvrir un peu se pensionnat."

sur ce, Gin s'en alla de la chambre en saluant Nimiki et Elias.

Etant assise, on pouvait voir les expressions de chacun, vu du bas. Elias faisait une mine vraiment à se vomir dessus et Gin tellement joyeuse qu'on aurait envie de lui couper le sourire. Les deux expressions n'allaient pas ensemble et c'était pas bon signe. Gin sortit de la chambre, comme pour dire qu'il en avait un peu ral le cul de l'expression d'Elias. Mais c'est vrai que le jeune homme avait une mine qu'on aime pas croiser.

"Ca ne va pas Elias?"

Se disant qu'elle avait sûrement fait une gaffe, elle se tut pour laisser le silence venir, l'air un peu gêné.

Il regarda Gin s'en aller et regarda ensuite le sol, puis Nimiki.
La jeune fille avait l'air gêné d'être là, sûrement à cause de l'attitude d'Elias, mais s'il n'avait pas envie de rire après tout, c'était son droit.
Et le jeune homme avait l'air un peu trop joyeux, pour que cela fasse naturel, et il n'aimait pas ça du tout.

"Pas trop, pardonnes-moi de ne pas avoir été agréable avec ton nouvel ami..."

Nimiki leva la tête et le regarda, d'un air ahuri. Puis, elle posa sa tête contre son épaule.

"Ce n'est pas grave, je t'aime comme tu es."

Puis, le vent souffla, comme s'il savait qu'on en avait besoins. Tout était relativement calme, et on entendait que le souffle de Nimiki qui était un peu fort. Puis plus un bruit. Tout ce qu'on entendait c'était les oiseaux ou le vent qui tapait contre la fenêtre, de façon à gêner tout le monde. Decidemment, le monde n'aimait pas le bruit.

*Ah non.*

Miki, embêtait, ne fit rien et pensa à autre chose, à sa soeur. Sa soeur, qu'elle n'avait plus vraiment revu dans sa tête.

*Je t'aime soeurette.*

Puis serra Elias, elle pensa fort à elle. Revoyant la scene, quand elle partit pour la dernière fois, la dernière phrase, les derniers pas, que Miki avait vu.

*J'aurais dut en profiter.*

Miki le regarda un instant, contemplant son visage. Sa blancheur était belle et ses yeux ressortaient. Son expression, peu dissimulé, se laissait paraître. Tous ce qui allait chambouler deux, trois choses, c'était ce que Nimiki allait sortir. La phrase de sa vie qui recommencerait comme avant, un enfer et un ennui.

"Aurevoir Elias."

D'un mouvement brusque, d'un mouvement froid, elle quitta son épaule si chaude et douce. Et, se dirigea vers la sortie, confuse, obstiné, gêné, toutes les epressions passait sur son visage, de peur en rage.

*Ma solitude, mon innocence, ma naïveté...*

Il entendit Nimiki parler, et il la regarda s'en aller. Loin de lui, loin de cette chambre.
Il ne éagit pas, il ne fallait pas réagir, c'était Nimiki, si elle faisait cela, c'était comme ça.
On ne peut rien changer.

"Passes une bonne journée, Nimiki..."

Il baissa la tête, plus triste que jamais, il fermait les yeux pour ne pas affronter la réalité. "on est toujours seul", il l'avait toujours pensé, et malgré ses amis, c'était de plus en plus vérifié.

Miki se retourna, cheveux volant, formant une ronde. Pensant à sa soeur, durant un bon bout de temps, elle partit enfin. Elle était résté toute la journée avec Elias et il était temps de dormir un peu ou de passer à autres chose. Une journée qui allait s'oublier, comme autre chose.

"Peut-être."

Non ce n'était pas quelque chose de si important. Finalement, la seule personne sur qui elle pouvait compter c'était bien évidemment sur elle même et non quelqu'un d'autre. Sa vie rejettait tout amis depuis sa rupture, ou plutôt...enfin cet évenement la tromatisa, à vie même. Sa soeur était là pour elle, même si sond épart était précipité. En haut, ou en dessous, se trouver sa rose, son bonheur, et il ne fallait plus beaucoup attendre pour la rejoindre.

*J'arriverais un jour.*

*Tu ne pourras pas*

*Va t'en salle bête!*

*Continue comme ça et tu verra.*

Mais si son destin était autrement, la mal régenerait encore longtemps. La seule chose qu'elle demande, c'est de mourir, pourquoi tant de difficulté à s'executer, pourquoi y a t-il des obstacles. Mais mince, la vie est dur, elle commande, ainsi que le destin, les sables du temps et tout ce qui va avec et qui fait chier le monde.

*Je reviens...*

*Mais oui c'est ça!*

Sur ces mots, elle l'avait quitté. Tous ces regret, ce sont de gros boulets qu'on trimballe, qu'on supporte. Les choses que l'on croit durer, ne dure jamais assez longtemps ou ne dur pas tout simplement. Néan, cauchemard, rêve. Est'ce un des trois?

*Sais-tu que je t'aime?*

Oui sa soeur le savais, elle en était persuadé, malgrès le dernier mot de rage de Nimiki. Malgrès sa colère, sa haine.
Le mot qui refaisait surface était "c'est ça!" le mot que celle-ci avait dit plein de haine, mais tout ça remonte à longtemp.

"Enfin...je ne pense pas qu'on pourra se revoir."

Revenant sur terre, à reparler à Elias, qui attendait sûrement qu'elle s'en aille, ses mots se baladaient, sortaient, rentraient, formaient une phrase, qui avait du sens, certe. Une phrase plein d'amour, de tristesse, de rage, de colère, mais qui ne se laissait pas paraître.
A ses 5 ans, ce fut son début, à faire du théâtre. Cacher ses sentiments rapporte beaucoup moins d'ennuis. Cacher ses sentiments est vraiment important mais au fond, les cacher montre qu'on est faible, que la vie nous en veux, ou qu'on en veux à la vie.

Il leva doucement la tête et regarda la jeune fille, les yeux un peu dans le vide.
Il espèrait qu'elle passerait une bonne journée, mais il en serait autant étonné. La jeune fille ne semblait pas être faite pour le bonheur.
Il remarqua une chose qui lui semblait bizarre. La jeune fille était censée s'en aller, mais non, elle ne bougeait pas, restait là, à penser sûrement, ou à rêver.

De quoi pouvait-elle rêver ? De son enfance ? Ou alors elle était en train de penser que Elias était un imbécile, à se comporter de cette façon, à rester cloitré chez lui.

Mais vraiment. Elias était ne pouvait pas deviner les pensées de la jeune fille.
Il la regardait, mais lorsqu'elle l'entendit parler, il fut surpris, et se leva.

"Pourquoi ? Tu ne veux plus me voir ?"

Il restait devant elle, incapable de faire un geste pour la retenir. Cependant il ne pouvait pas imaginer ne plus revoir la jeune fille.

Miki était prête à partir, la tête haute, de façon obstiné. Tous ces petits bruit de fonds disparaissaient peu à peu. La chambre, lui était familière, de plus en plus familière, Elias, lui était familié, mais allait devenir un souvenir, qu'on oublie vite. C'était déjà assez dur de ne pas oublier son propre passé, mais qui était Nimiki? Les pires moments de savie, revenaient chaque jours, mai sles bon moments, oubliés, envolés disparues. Le sang, la mort, la douleur, étaient les prioritaient de sa vie. Alors que le bonheur, le paradis, l'amour, n'était que néan. Mais l'amour, est plus déstructeur, que bonheur. Elle se rémémora le passage de sa vie, un passage bien précis, autre que la mort de sa soeur, la mort de son frère et la disparition de ses parents.
On était en 1996, ses parents étaient disparue, sa soeur morte et son frère aussi. Nimiki se retrouva sans famille, sans amis, mais un jour, alors qu'elle se prommenait le long du canal St.Jacque, un jeune homme était assit sur un banc.

"Bonjour."

"Bonjour, que fais-tu là?"

"Je n'ai pas le droit?"

"Euh si..."

"Et toi? Que fais-tu?"

"J'ai perdue mes parents il y a 6 ans et je suis seul, je me débrouille comme je peux, avec ma soeur, qui m'aide."

"Ta vie est semblable à la mienne. Mes parents sont morts ou plutôt disparu, et je vivais, il n'y a pas longtemp avec ma soeur et mon frère. Ma soeur est morte et mon frère s'est suicidé."

"Mais tu es à la rue?"

"Je suis dans l'appartement de ma soeur mais ça ne va pas durer longtemp."

"Veux-tu vivre avec moi et ma soeur?"

La jeune fille le suivit et pendant 5 ans elle vécu avec eux. Entre temps, elle tomba amoureuse du jeune garçon qui lui avait sois disant sauvé la vie, d'un vie précaire. L'amour était magique, ils s'aimaient comme jamais on ne peut aimer quelqu'un. Mais, un jour de pluie, Nimiki était allée chercher des provisions, pour fêter Noël et faire une surprise à la soeur de son ami. Mais, l'appartement était calme, même trop...il n'y avait plus personne. Prise de rage, de tristesse, la jeune fille poussa un cri effroyable, tellement fort que du sang sortait de sa bouche. Puis elle courut très loin, le plus loin. Tous ses amis avaient disparu, sa famille, tout. Sa vie était décidemment un cauchemar.

Elle reprit son esprit, comme s'il était partit dans le passé, et avait voyagé un bon bout de temps. Plus qu'un flash back, plus qu'un souvenir, PIRE. Elias avait-il dit quelque chose, car il était debout, comme s'il s'apprêtait à parler ou avait-il déjà parler. Confuse d'être si dispérsé et rêveuse, elle sortit, d'une petite vois, d'un petit ton, de sa fine bouche, de ses corde vocales déchiquetés par son cri passé une petite phrase à peine forte.

"Euh...tu as dis quelque chose?"

Elle lui lança un petit sourire pour dire que ce n'était pas de sa faute, un sourire mi figue mi raisin. Ses cheveux arrêtèrent de bouger dans tous les sens, car le vent ne soufflait plus. Dehors, il faisait nui, les étoiles brillaient de milles feux. La lune, toujours aussi ravissante, toujours aussi gentille, donnait sa lumière pour voir un peu, la nuit. La seule chose qui gâchait tout était la lumière, la lumière que l'homme transforme en n'importe quoi, en des choses moche et polluantes.
Se rappelant l'histoire de son frère, celle-ci replongea dans ses souvenirs.

On était il n'y a pas si longtemps que ça et son frère déprimé chaque jours, pleurait, n'en pouvait plus, de sa vie misérable. Il parla à Nimiki de sa vie, de touc ce qui est gâché, de tous ces malheurs cosé par peu de choses. La fille s'occupait de lui, lui préparait ses repas, c'était comme sa grande soeur. Voila pourquoi elle était un peu maman avec Elias de temps en temps. Les habitudes ne s'éffacent pas, elles restent gravé dans notre mémoire.

"Va faire un tour."

"Pourquoi?"

"Ne pose pas de question. Va"

Elle s'executa et partit fair un tour dans son quartier. Le soiseaux chantaient, il faisait bon, elle pensait que sa vie recommencerait à nouveau mais elle se trompait.
Puis, elle rentra chez elle, et une chaise était au milieu de ka piece, celle-ci eu peur de lever la tête mais elle la leva et vit son frère, pendu, mort. Elle eu peur mais ne pleura pas, ne dit rien et s'enfuit, le laissant là, à périr seul.

*Pourquoi je repense à cela?*

"Tu as dis quelque chose?"

La pauvre était perdue, dans ses pensées, et Elias, parlait tout seul, comme une courge, le pauvre.

Elias regardait Nimiki, troublé.
Que se passait-il ? Pourquoi avait-elle l'air si absente ? Pourquoi restait-elle ici puisqu'elle voulait partir sans revenir ?
Il était inquiet car si ses souvenirs étaient triste, la jeune fille devait souffrir intérieurement, sans qu'il ne puisse s'en aperçevoir, sans qu'il ne puisse l'aider.

Il lui prit les mains, elle avait les yeux troubles, elle ne parlait pas, elle rêvait. Puis, elle reprit ses esprits un court instant, le regarda et lui demanda de répéter ce qu'il avait dit.

"Tu te sens bien, Nimiki ?"

Que dire d'autre ? La jeune fille semblait si tourmentée, si pale...
Elle sembla repartir directement dans ses songes. Elias fit une petite moue.

"Je voulais savoir si tu allais bien... Tu sembles troublée..."

Nimiki se resaisit, de tout ces moments, moment passés, moments triste, moment horrible. Mais son passé ne revenait pas entierrement. Des choses disparaissaient comme ça, et ne revenaient jamais. Son rêve? voir les plus beaux moment de sa vie, mais il n'y avait que les mauvais souvenirs qui faisaient surface.

"Non laisse moi."

Petite enfant pleure, le long de sa joue court, petit enfant rêve, le nuage du temps s'ouvre.

"Et ne me retrouve jamais."

Elias lâcha les mains de la jeune fille et la regarda l'air triste.
Que voulait-elle enfin ? Partir sans laisser de trace ? Se suicider ? Elias l'ignorait, mais il sentait qu'il ne pourrait finalement pas aider la jeune fille, cela paraissait trop complexe. La jeune fille était si mystérieuse, cela ne le dérangeait pas mais, c'était difficile de la comprendre.

"Que veux-tu que je fasse ?"

Il la regarda avec un air inquiet, puis baissa la tête.

Miki regarda Elias dans les yeux, d'un regard profond. Puis, elle le regarda encor ene fois, une dernière fois. Un moment calme, même très calme, trop calme. Triste et là la fois joyeux, c'était mieux ainsi, ne plus le revoir, rester inconnue, ou un souvenir.

"Riens."

Elle reprit son esprit, comme s'il était partit dans le passé, et avait voyagé un bon bout de temps, à se demander ce qui serait bon de faire.Miki était prête à partir, la tête haute, de façon obstiné. Tous ces petits bruit de fonds disparaissaient peu à peu. La chambre, lui était familière, de plus en plus familière, Elias, lui était familié, mais allait devenir un souvenir, qu'on oublie vite. Confuse d'être si dispérsé et rêveuse, elle laissa finalement tomber par terre son gilet et s'en alla, libre comme le vent, légé comme un souvenir.