Nom: Yamada
Prénom: Kaori
Age : 16 ans
Description physique : Kaori est pourvue d'une chevelure noire ébène. Ses cheveux lui arrivent un peu plus bas que le milieu du dos mais elle les attaches souvent en une énorme queue. Ses yeux de vires du rouge au bleu ciel durant les saisons. Son visage pâle et bien proportionné, bien qu'elle trouve ses yeux trop petits. Elle est assez grande, elle approche les 1m 75. Kaori est mince mais pas squelettique pour autant. Ses mains sont pâles, ses ongles courts et bien taillés, jamais elle ne les vernis. Sa taille est fine et comme toutes les anglaises, elle est pourvue d'une grâce exceptionnelle bien qu'elle n'en fasse que très peu usage trouvant cela trop futile. Elle à une tatouage sur l'épaule gauche, une X.
Pour ce qui est des vêtements, cela reste une chose importante pour Kaori, elle porte généralement des vêtements noirs et assez spéciaux.
Qualités(s) : Généreuse - Tolérante - Bonne au combat
Défaut(s): Peu souriante - Mystérieuse - Froide
Caractère : Kaori est une tueuse à gage. Elle est dépourvut d'humanité, de sentiment... Elle fait avant tout passer son travail. C'est à vrai dire seule chose qu'elle possède et qu'elle aime. Mais cela ne l'empêche pas d'être sensible, elle est remplies de regrets, de remords, tout ses meurtres pèsent sur sa conscience. Mais a telle d'autres choix ? Elle doit avant tout ce défendre contre ce monde abject. Elle tue avant tout par principe, si les autres font appel à elle, tant mieux...
Elle est dotée d'une grande intelligence, déterminée, réfléchit. Sa tête est une véritable minuterie, tout fonctionne avec précision, les choses sont précise et clair, elle est ponctuelle, elle aime les choses en ordres ce qui la rends parfois maniaque.
Kaori ne cherche pas à se faire aimer, ni à s'aimer. Elle est égoïste, chacun pour soi ? Elle s'y fie totalement, elle est circonspecte. Elle ne croit en rien appart en elle, elle n'a ni foi ni loi, aucun objectifs ou presque. L'amour ? Elle n'en comprend pas le sens. L'amitié ? Pareil, elle n'a jamais eut d'amis, car pour elle cela n'existe, touts monde nous trahit un jour...
Histoire : C'était une de ces soirées comme les aimait la petite fille.
En cette dernière nuit d'octobre, elle était à sa fenêtre et contemplait le monde frissonnant à l'orée de l'hiver. Un vent piquant agitait les tiges de feuilles mortes dans le jardin, et dépouillait des arbres de leur dernière feuilles jaunies pour les envoyer voler dans le noir comme des bouts de papier. Soudain, la petite fille tirât les rideaux et cacha la nuit.
Pieds nus, elle courut vers la cheminée de pierre et, avec un tisonnier de fer, secoua les braises jusqu'à ce que les flammes jaillissent. Elle tendit les mains vers la chaleur et la se diffuser dans le salon et la cuisine de ce qui avait été, cent ans plus tôt encore, une simple ferme.
Quelques pas encore, elle contournât une table basse, et s'approchât des cadrans luisant d'une chaîne stéréo. Elle tourna le bouton du son et la musique s'enflât, déversée par les hauts parleurs nichés dans l'ombre des poutres. Le concerto pour piano n°1 de Liszt s'enflât et frémit dans tout les recoins, au point que la petite maison elle même devint l'orchestre. Kaori portât le volume au maximum.
Aucun voisin n'allait téléphoner, ni tambourine à la porte pour se plaindre du bruit, le plus proche vivait à plus de hit cent mètres. L'enfant resta un moment immobile, elle attendit, le moment qu'elle attendait depuis ce matin. Tout la journée, appart un détour au village, elle avait cirée les meubles en bois, et nettoyé, même le tapis, qui avait plus de cent ans, avait presque retrouvé ses couleurs d'origine depuis que la petite fille l'avait traînée et secoué dehors.
La petit fille se dirigeât vers la cuisine, et au comptoir de la cuisine, elle ouvrit délicatement un carton pâtissier, puis elle soulevât avec précaution un petit gâteau nappé de sucre glace jaune pâle. Le sucre neigeux lui poissât les doigts, mais elle ne le léchât pas, elle l'essuyât avec un petit bout de papier. Sur la surface brillante et satinée, elle disposât treize petites bougies vertes, qu'elle allumât à l'aide d'une allumette.
Des coups retentirent. Qui osé troubler ainsi l'anniversaire de la petite fille ? Kaori courut jusqu'au qu'au salon éteindre la chaîne stéréo. Puis elle courut jusqu'à la porte d'entrée, avec un accent anglais, elle demandât qui était là. Personne ne répondit, mais les coups continuaient. La petite fille cédât et ouvrit la porte, des ongles rouges jaillirent du noir, puis le visage rougit par le froid de sa mère apparut. Elle rentrât, laissant des trace boueuse sur le parquet récemment ciré ce qui mit la petit fille hors d'elle. Pour maîtriser sa rage, elle fit preuve d'une froideur typiquement anglaise, sa même saluait cette mère indigne qui l'avait pourtant élevée... Elisabeth s'assit sur le fauteuil à bascule et demandât une tasse de thé vert. Elle passât sur ses lèvres trop roses une pommade en tube. Comme de la bave d'escargot pensât la petite fille en entrât dans la cuisine.
Quelques années auparavant, avait vécut dans cette maison, un grand photographe français, malheureusement, il avait oublié un tube de Cyanure que Kaori avait précieusement gardé. Pendant qu'elle préparait le thé à sa marâtre son regard se posât sur ce petit tube, dessus était marqué : Poison. La petite fille haussât les sourcils, ici, le meurtre était punie par la mort, mais après tout, elle n'avait plus rien à perdre, elle prit le cyanure puis versât quelques gouttes et le donnât à sa mère... Il fallut quelques minutes à peine avant que sa mère ne plonge dans un sommeil immortel.
Kaori reprit une existence normale. Toute personne s'introduisant dans sa vie mourrait empoisonnée, les cadavre était cachés. Les habitants comprirent que Kaori était une tueuse, mais ils n’avaient aucunes preuves. Certains faisait appel à elle pour se débarrasser des gens encombrants, d'autre l'évitait. Mais grâce à son intelligence hors-norme et son peu d'humanité tout cela ne lui faisait rien, jusqu'au jour ou tout changeât.
Un homme avait demandé ses services. Kaori avait acceptée sans hésiter. La personne à éliminée habitait dans une grande maison remplie de domestiques ce qui rendait la tâche plus difficile...
Il était près de minuit, en cette dernière soirée d'octobre, Kaori aurait du fêter ses 16 ans , au lieu de ça, elle s'introduisait en douce dans une maison blanche. Face à elle un escalier de marbre elle les montât doucement. Quand elle arrivât en haut, tout était éteint, l'homme dormait dans la deuxième chambre à gauche, Kaori entrat. La jeune fille sortis un poignard, l'homme qui ronflait était une proie facile, pour l'instant, aucuns obstacle, elle s'avançât doucement, et enfonçât son poignards à sept reprises. Malheureusement pour elle, l'homme poussât un cri...
Kaori paniquée sortit à toute vitesse de la chambre manquant de trébucher et se retrouvât face à un domestique, en bas de l'escalier, une jeune femme appelait la police. Kaori frappât violemment l'homme au visage et descendit les escaliers avant de sortir par la porte. Loin, elle entendait les sirènes de police. La jeune fille courut à toute vitesse le plus loin possible, elle passa par le petit bois de Long Island. Puis elle se retrouvât devant un arrêt de bus, perdu. Le prochain bus arrivait dans quelques minutes, elle décidât de l'attendre...Ce qu'elle ne savait pas, ce que bus menait directement au Japon et pour finalement la déposer devant l'entrée du pensionnat Sakura...
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Prénom: Samiaa
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Libre: J'trouve que l'pensionnat a l'air trop bien <3 ^.^
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Sujet: Kaori Yamada 
Jeu 15 Nov - 21:25
