Petite voix...

Nimiki entra dans le Dojo.
Entre temps elle s'était changée, toujours en noir et rouge, elle avança.
Tout était trop calme, c'était une embiance mortuaire. Au moins quand il n'y a presonne on ne l'embêtera pas...
Dans sa petite tête une voix parla:

"Nan mais vraiment, tu pourrait arrêter d'être spéciale tu n'as qu'à être comme tout le monde, la vie n'est pas horrible tu sais..."

Cette voix énèrva Nimiki et elle poussa un crie. Ne pas se suicidé, il ne faut pas se suicidé et il ne faut pas être comme les autres. Elle en avait marre de la vie, mais elle ne baissa pas les bras.

"De toute façon je trouverais la personne qui me comprendra"

Se dit elle.

Il avait revêtu son kimono et prit son sac avec son équipement. Après avoir prit une bouteille, qu'il avait rempli d'eau, il l'avait mis dans son sac et était partit vers le dojo. Il s'entraînait dans le gymnase pour la forme physique, mais pratiquait ses techniques dans le dojo. Sous la haut de son kimono, se trouvait un chandail uniforme bleu, de la même que celui-ci. Il entra donc dans le dojo et vu une jeune fille habiller de rouge et de noir qui y était déjà, jeune fille qu'il reconnu très bien.

" On se rencontre à nouveau. "

Il déposa son sac près d'un mur et s'avança sur les tatamis et commença ses échauffements en regardant toujours celle-ci. Ce n'est pas qu'il était impatient ou qu'il ne voulait pas l'écouter, mais il se savait capable de faire les deux choses en même temps, alors il ne voyait pas pourquoi ne pas agir ainsi, mais enfin, il n'avait pas les mêmes habitudes qu'une majorité de gens.

(Comme je fait vraiment des arts martiaux dans la vraie vie, je risque d'utiliser les termes japonais, alors si jamais tu ne les connais pas ou ne les comprend pas, dis moi le et je vais te traduire. A moins que toi aussi tu les connaissent?)

Nimiki s'aprêtait à répondre au jeune homme quand quelqu'un entra à moitié bléssé.

"Hého? Que se passe-t-il?"

Tout en gardant son sang froid, Nimiki marcha vers lui. Il avait un Katana à la main qu'il ne voulait pas quitter.

*Tiens c'est étrange?*

Elle sentait quelque chose de bizzar dans l'air, et ses yeux s'assombrirent.
Arrivé devant le garçon, elle lui posa une question.

"Qe t'est t-il arrivait?"

Nimiki, qui avait vu trop de gens mourir devant ses yeux, n'allait pas rester les bras croisé.

"Il faudrait t'enmmener à l'infirmerie"

Toujours sur un ton calme elle continua à lui parler.

"Sinon tu risque de mourir..."

La question ne se posait plus, trop de choses étrange s'agités autour d'elle. Elle enleva son collier qui portait une perle rouge et noir, et lui mit autour du coup. C'était une façon symbolique pour elle de pouvoir tenir le coup et pour nimporte qui, elle risquerait nimporte quoi.

Un garçon entra dans le dojo et il semblait assez amocher. Le sang était présent en quantité énorme sur lui et il le vit s'effondrer. Avant même qu'il n'ait pu réagir, la jeune fille réagit et lui posa la question qu'il se demandait lui aussi. Il s'était donc battu, ce katana était le sien ou celui de son adversaire pour émettre un tel mise en garde. Il se releva et alla à côté de lui.

La blessure sur son épaule et près de son coeur était visible et il savait, même sans être médecin qu'il devait arrêter l'hémorragie. Instinctivement, il détacha la ceinture de son kimono et l'attacha en haut de la blessure de son épaule, serrant assez pour faire un garrot. Pour l'autre blessure il n'avait pas les connaissances pour y faire quelque chose. Il entendait le jeune dire qu'il allait mourir et qu'ils devaient l'apporter à l'hôpital, ce qu'Arbagon s'apprêtait à faire.

Pour ne pas exercer une pression pour faire sortir le sang encore plus vite, il prit le garçon en dessus de la tête et des genoux, le soulevant du sol avec délicatesse et douceur. Il commençait réellement à s’inquiéter, mais Arbagon semblait toujours calme et indifférent à la situation, comme à son habitude. Il se tourna vers la fille un peu plus loin.

" Prend le katana par le manche et ne te coupe pas avec lui, si jamais il en ont besoin à l'hôpital, faudra l'avoir. Suis moi et ne me perds pas de vue. "

Il ne prit même pas le temps d'écouter la réponse, il se doutait qu'elle avait assez de bon sens pour comprendre l'urgence du moment. Il passa donc la porte et s'engouffra dans les rues de la ville, qui était peu fréquenter à cette heure, ce qui l'arrangeait grandement, se dirigeant du plus vite possible, car il tentait de ne pas accélérer l'écoulement du sang du garçon, vers l'hôpital.

(si personne ne s'y oppose, je vais faire le premier post à l'infirmerie)