Visite. [Nimiki Zusaki]

Nimiki cherchait et continuait à chercher Miya, qui était dans un endroit introuvable. Après avoir fais le tour des chambres, le tour des salles, il restait une salle abandonné, celle qui lui était la plus belle, la plus calme, la plus sombre. Loin de la réalité, mais pourtant qui y était, qui était bel et bien réel, mais qui faisait rêver, nous évader. C'est aussi ici que beuaocup de personne se sentent bien pour avor un rendez-vous à deux. Sa démarche se faisait lente, à force de marcher, de parcourir cet établissement, d'aller de droite à gauche, de traquer, ses efforts physique font tout de m^me du bien et démotnre que la vie souffre tel qu'elle.

* Allez encore un petit effort et ensuite, repos mérité.*

Dans la salle, se trouvait un jeune homme, en serviette de bain. Sûrement devait-il venir de la piscine ou des thermes. Il semblait rêver, en observant les alentours, tout en se dépêchant. Cette expression était fascinante et pénétrable, car on ne pouvait y cacher ses sentiments. C'est pour cela, que, Miki, les caches, toujours et encores, même quand il est dur de résister à l'aveu, à l'amour. L'amour n'éxistait pas, bien entendut, mais pourtant, il l'hantait encore, depuis sa malheureuse histoire, sa vie précaire. Le garçon avait les cheveux bruns, peut-être plus clair ou plus foncé, dans cette salle on y voiyait pas grand chose.

"Bonjour."

Il se retourna et la dévisagea, mais bien entendu, ce ne fut pas un vsage familié. Pourtant, elle était ici depuis assez longtemps, mais se faisait petite, même trop, ne parlait pas, se renférmait, réstait froide, se pérdait, et rien que ces attitudes, montres tous ces sentiments, ce qui est bien embêtant. Comment pouvait-on les cacher si, en les cachant, ils ressortaient, comme un enfant, sortant de sa chambre, ou bien la mort, sortant de sa vie. Que la vie était dur, et même pas sa fois, pouvait l'aider, car son destin était tout tracé, bien malheureux, bien horrible, détestable.

Orphen perdu dans ses penssées,repenssant à la fois,à son arrivé,son impact sur les autres et à son but à atteindre,il fut soudainement interromput par une voix féminine.Son premier geste,fut ..ben de ne pas bouger.Il venait d'être découvert torse nu par une pensionnaire.Ses joues devenèrent rouge et une bouffé de chaleur lui remonta jusqu'au visage.

*Il faut toujours qu'il m'arrive ce genre de chose ..*

-Hum ..bonjour.

Il se retourna puis regarda gêné le visage de la jeune fille qui ne semblait plus dire grand chose.Orphen finit par tenir sa serviette au cas ou il arriverait un accident.Il regarda ses habits sur le bureau puis redéposa son regard sur elle.

-Je ..

A cet instant même il ne savait quoi dire.se faire surprendre dans cette situation était vraiment embarassant.

Nimiki le regardait, il semblait embarassé, ses joues devinrent rouges écarlate, puis, elle se rendit compte, qu'il était en serviette de bain. Le pauvre ne savait plus quoi dire, si bien qu'il fini par commençaer une phrase sans la terminer. Mais ce n'était pas grave, si la serviette venait à tomber... elle ne tomberait pas comme cela, si vite. Enfin il fallait juste éspérer, car pour l'instant, celui-ci était vraiment très gêné de se retrouver dans cette situation, dans cette tenue, avec la jeune fille, justement.

"Oh. Ce n'est pas grave tu sais, des situations embarassantes, il y en a de pire. il te suffit juste de prier la vie pour ne pas que ta serviette tombe, après c'est à elle de voir ce qu'elle peut faire... mais des personne torse nu, on en voit tous les jours, comme à la piscine..."

Il fallait bien le rassurer, c'était la panique total. Elle lui lança un sourire, même si au fond il ne voulait rien dire du tout, juste pour que celui-ci comprennen qu'il n'avait pas de quoi être embarassé et puis tout irait mieux, du moins, elle le pensait. C'était tout de même plus dûr à dire qu'à faire.

"Enfin, dis-toi que pour une fille ce serait plus embêtant."

Et bien on voyait bien qu'elle faisait son possible pour détendre l'atmosphère, car en fait, celle-ci était encore plus gêné que lui, pourquoi? Et bien ça, on ne sait pas vraiment, ce doit être une gêne pou quelqu'un et non pour sois-même.

Les phrases de la jeune fille résonnèrent dans sa tête avec un écho de plus en plus fort,cela devenait très désagréable.Orphen passa une main dans ses cheveux puis décida à parler en bégueillant quelque peu.

-Je ne penssais pas que quelqu'un viendrait,c'est tout ..

Orphen s'avança vers le bureau et attrapa ses affaires.

*Des situations embarassantes, il y en a de pire*

Ben ça il le savait,il s'était passez quelque chose hier et c'était tout aussi gênant qu'aujourd'hui.Sa vie se résume à avancer en passant vers des obstacles qu'il n'aurait jamais voulut passer.Pourquoi il méritait ça .. u___u'

Mais faut dire que ces situations fesaient partit de la vie et que même si c'était embarassa,cela le forgerait pour plus tard.C'est sûr que cela ne lui servirait pas à grand chose mais on pourra pensser qu'il sera moins pudique ... ^^'

Orphen sortit de son état d'esprit secondaire puis repris.

-Je m'apelle Orphen Tageshi et toi?

Mikii le regarda, s'exprimer, même riposter peut-être, mais elle n'écoutait pas vraiment ce qu'il avait a dire, car son opinion n'était pas le même, alors, il vallait mieux ne pas écouter. Ce sont toujours les hommes qui influences la femmes, c'est bien connut, il ne faut pas tomber dans leur stupide piege à 2 balles qui sont vraiment très facile à voir mais tellement qu'on croit que ce sont de gentils êtres, et bien on tombe dedan.

"Si ça te fais plaisir."

Des moments comme ça on aimerait, soit ne pas les connaitres, soit les vivres plus longtemps, tout dépend de ce qu'on appelle "longtemps". Cette fois elle écouta, car il semblait plus décontracté, et sa voix plus douce, plus sereine. Enfin, il s'appellait donc Orphen. C'était plus compliquer à répondre mais il le fallait bien, comme à chaque première fois, comme à chaque première rencontre.

"Nimiki."

Son nom réstait toujours aussi marquant et douloureux, il vallait mieux l'oublier, le laisser dans un coin, ne pas y penser, ni le prononcer, juste donner son pauvre nom qu'elle avait changé il y a bien longtemps, et qui éatit mieux. Comme quelqu'un qui change d'identité, de facette, qui fuit quelque chose ou quelqu'un, peut-être sa vi eou son destin.

Donc,elle s'apellait Nimiki ..Il finit par afficher un grand sourire car il semblait .. ou même que son intuition lui disait, qu'il n'y avait rien à craindre.Ce n'est pas qu'elle était dangereuse mais juste d'avoir écouter ce qu'elle avait dit,son instint était devenu confiant à son éguard.
C'est blancs venaient assez rapidement laissant les deux élèves assez tendus.

*Faut rentrer maintenant ..mon vieux.*

Orphen semblait abasourdit par cette fille,cela devenait assez fréquent d'ailleurs.Il la regarda un moment puis s'avança vers la porte tout en posant son regard dans le sien.%agrès cette gêne,il reprit le dessus et lui posa une question d'une voix douce:

-Ca fait longtemps que tu ici?.. Je ne t'avais encore .. jamais vut.

Il passa une main dans sa nuque et attendit sa réponse impatiemment.

Miki le voyait s'approchant, voulant partir, peut-être, ou pas, il était plus confiant, reprenait sa voix qui devait être normal, et lui posa une question, mais cette question, tout le monde lui avait posé la même et il fallait toujours et encore dire la même chose, mais à quoi bon essayer de changer, il faut dire ce qu'il faut dire. Et dans un enchainement de respiration et enchaina tout aussi bien et vite.

"Je ne compte pas les jours, je les savoures en les détéstants."

Et voila la même phrase qui ressortait à nouveau, encore. Mais au moins cela est bien mieux que de répondre quelque chose de faux oud 'incertain, même si cela ressemble plutôtà une négation, mais que faire. Puis, elle se décala, pour le laisser passer, s'il voulait partir et continua.

"Je ne suis visible que pour ceux qu'il veulent me voir..."

Oh et bien tout s'arrêtait maintenant, ou du moins c'est ce qu'elle pensait, tout redevenait comme avant, mais ce qui ne changera jamais, c'est que la vie rest eun enfer perdue et tout pres qui nous hante de jours en jours pour bousiller notre vie si chère, qui devient lamentable et précaire. Il fallait lutter, juste lutter contre cette course contre la montre, contre le temps.

Orphen resta sans voix.Elle avait l'air très sur d'elle et Nimiki n'avait pas l'air à son aise dans ce monde.Certe la vie était monotone,mais quand on y pensse,elle nous offre à tous ses merveilles et il faut les accaparer pour vivre plainement chaque instant.
La jeune fille s'était poussée,penssait-elle qu'Orphen voulait partir?Elle avait raison mais maintenant qu'il en savait un peu plus sur elle,il voulait plutôt rester et découvrir qui elle était vraiment.Orphen se redressa puis finit par dire:

-Pourquoi tu es si négative ? .. Qu'est-ce qui t'es arrivée pourque tu n'es plus le goût à la vie? ..

Malgrès le froid qui l'envahit soudainement,il préféra consacrer son temps à cette jeune fille,qui semblait chercher une issue de sa propre vie.

Cette élève était très mystérieuse,apperemment,elle était plutôt timide et renfermée sur elle même .. mais au fond il était sûr que la vrai Nimiki était en elle,aussi fraîche,douce et pleine de qualitées.

Nimiki ne savait pas quoi répondre. Cette question était attendu mais elle fut tout de même surprise. Ce ne sont pas des question toujours facile à répondre et justement, là, c'était plus dur qu'il n'y paraissait. Fallait-elle que celle-ci y réponde, peut-être. Mais commen s'y prendre, qu'elle manière, qu'elle vois, quels détails, pleins de question s'enchainèrent et finalement, une seule phrase pouvait être ni trop détaillé ni ytop embarrassante.

" Un passé douloureux."

Peut-être est-ce assez, peut-être pas, mais comment s'en rendre compte, elle ne pouvait pas savoir comme on pouvait réagir à cela, tout était trop emmêlé pour comprendre ou même essayer. Ce sont de choses qui sont réel mais qu'on ne veut pas voir, des choses importante quxquelles on ne croit pas, des choses dur à vivre qu'on surmonte tant bien que mal, des choses vraiment horrible qu'on oublie mais qui ressurgissent de nul part, juste pour vous embêter et pour gâcher votre misérable vie.

"Des fois, on se dit, que la vie nous offre des choses belles et magnifique,alors qu'en fait, elle ne fait cela que pour nous amadouer et la respecter. Moi, je ne veux pas m'abaisser devant quelqu'un et dire de lui du bien, surtout à la vie et à mon destin, alors je me bats contre lui et lui, en échange, elle me fait souffrir. Mais je rpéfère souffrir pour ce que je suis, et de toute manière, je souffrais déjà auparavant."

Cette voix, froide, trop froide, terne et glacé, cette phrase, bizzare mais pourtant vrai, toutes ces pauvre choses si belles, n'étaient qu'à ses yeux des choses horrible, des fantasmagorie, des illusions. Arrêtez donc de croire à la vie et de lui sourire, car ça ne fait que lui donne rplus de puissance et d'influence. Croyez ce que vous ressentez, ne cachez pas votre jeux et jouer.

Nimiki le regarda, lui, disait qu'elle avait quelqu'un a qui se confier, ce qui ne pouvait être vrai. Les plus belles choses ont une fin, une fin bien attendu, et non mérité, mais en fait, les plus belles choses n'existent pas et n'existeront jamais. Et comment pouvait-il en être si sûr, alors qu'il ne savait pas tout de ce qui l'attendait.

"Oh, non. J'ai une amie, mais sinon, je n'ai personne à qui faire confiance, je me méfie du monde, et jamais je serais douce avec lui."

Tout ça était bien beau maintenant, une conversation vraiment déprimante et embêtante, gênante et fade, n'gative et froide, pourquoi fallait-il en venir à ça?

" Enfin si tu veux je t'accompagne à ta chambre."

Le sujet était trop lourd pour le continuer, trop encombrant et le souvenir refesait surface peu à peu, chose à oublier, pas comme avec Elias, pas comme avec Arbagon, ah non, ce serait un echec de plus, encore un suicide? Non bien sûr. Heureusement, elle ne pleurait jamais, d'ailleurs, pour ses parents, jamais elle ne pleura, car son coeur est dur mais au fond il est fragile, cette fragillité, elle a appris à la ocntenir à se la réserver, à ne pas la montrer. Justement, se renférmer était un moyen de ne rien dire, de ne rien montrer.

Orphen la regarda d'un autre oeil.

-Mmmh .. je vois.

Il sortit de la salle ravi d'en avoir finit avec cette conversation qui était bien triste.S'enguageant dans le couloir,il fut pris par des frissons.Les fenêtres ouverte laissaient entrer la brise fraîche.
Nimiki lui proposa de l'accompagner jusqu'à sa chambre.

*M'accompagner? .. bon ben pourquoi pas.*

-Pas de soucis.

Orphen marchant sur le parquet froid et lisse,tenta de se réchauffer avec ses habits contre son torse.Le calme règna alors après une longue conversation.Toujours avec aucune autre trace d'élèves,le pensionnat devint terriblement ennuyant.

-Ca te dérenge pas au moins?

Nimiki le regardait avoir froid, cela était bête de sortir avec une serviette franchement. Les vestiaire n'étaient pourtant pas si sale et ni endomagé. Elle le suivit et écouta se question, que répondre de sa question.

" Tu sais, des fois, il y a des questions qui ont déjà une réponse. Si je dis non, ce ne serait pas le but de ta maneuvre, mais si je dis oui, et bien ça rassure. Alors de toute façon, on connait tous la réponse de cette question."

Elle avança, jusqu'aux chambres, mais pour cela il fallait monter les marches, ce qui lui rappelait tant de souvenirs, et plutôt des mauvais.

"Bon, tiens ta serviette."

En serviette, c'était plus risqué qu'elle tombe, ceci dit, ce n'était pas ses affaires non plus mais que faire, franchement, il fallait bien prévenir même si ça n'interressait personne. Peut-être, cela la rassure elle même de parler dans le vide.

Ils arrivèrent alors aux escaliers,la jeune venait de lui prévenir de bien tenir sa serviette.Il s'arrêta sur le coup et la regarda étrangement.

*Je le sens pas trop là ..*

Orphen souria. ^^

-Euh vas'y après toi.J'ai toujours apris la politesse,tu n'y es pas contre,hein?

L'élève monta les marches tout en gardant fermement sa serviette sur lui.D'un seul coup,il sentit un doute .. Pourquoi cette fille voulait l'accompagner?Par politesse ou pour autre chose?

Elle le regarda étrangement. Et bien normalement, l'homme monte les marches en premier pour ne pas regarder les fesse de la femme et l'homme descend en premier pour la rattrapper si elle venait à tomber. Mais il ne devait sûrement pas connaître cette phrase et elle executa. En fait il devait la connaitre, mais de peur que sa pauvre serviette tombe.

" La politesse, non."

Pui ce disant, elle continuait à grimper les marches une à une. C'était la 100e personne que celle-ci accompagner à sa chambre. En fait cela était vraiment chiant et dans le sens familier cela faisait chier. Sauf que, il lui fallait, de temps en temps, de la chaleur humaine, un peu de vie, pour pouvoir se regarder en face. Voir que celle-ci est réel et que la vie est dur mais qu'il faut l'affronter.

"Tu connais ta chambre?"

Souvent, les nouvelles personne n'avaient pas dechambre, c'est aussi pour cela qu'il était préférable de les aider, mais en fait, en retour, on ne recevait qu'un misérable petit merci. Les pauvres choses sont vraiment moche et lassante.

Orphen suivit la jeune fille jusqu'au couloir des dortoirs des garçons.L'ambiance était devenue plutôt bizarre,comment l'expliquer? ..Aucune idée.Orphen avait l'air tendu .. peut être parceque justement il ne la connaissait pas vraiment et que cette fille était mystérieuse.Il était sûr qu'elle cachait quelque chose..mais quoi?Ca il ne le savait pas.
Toujours cramponné à sa serviette,le jeune garçon perdu dans ses penssée fut coupé par une question plutôt sans importance.

-Ouai ...

Arrivé dans le couloir deux jeunes filles pensionnaire passèrent sur le chemin.

*Flûte ..*

Il baissa sa tête et essaya de ne pas prendre en compte leurs rire au passage.Une fois passé,il releva son regard puis pointa sa chambre du doigt.

-C'est là-bas.

La jeune fille le regarda, répondre sans vraiment répondre, juste un bref "oui" que je dirais pas du sens familié. Comment était-ce possible d'avoir de l'égaux, enfin était-ce de l'égaux? Où juste une envie de rester tranquille, Ah, mais à cemoment là il fallait qu'il le dise, pourquoi ne rien dire? Non ça ne blaissserait personne, sûrement pas, enfin, en tout cas pas Nimiki. Puis, celle-ci, sur le coup de la question ou d'autre chose, ses premiers mots, dur.

" Mais tu sais, si tu veux te branler tout seul j'ai pas besoins de t'aider tu crois pas?"

Voila une phrase qui répondait bien au "Ouai" de la personne et qui collé avec son vocabulaire. Enfin elle se surprise toute seule, à prononcer des jurons, mais des fois, il faut bien l'admettre, ça sert à se faire du bien sans vraiment servir à quelque chose.

Avant d'arriver à sa chambre,Nimiki lui posa une question ..à vrai dire ..indiscrète.Orphen qui commençait à s'habituder às on caractère,leva soudainement les yeux au ciel.Pourquoi elle penssait ça? .. A cause de sa réponse breve?

-Non,je pensse pas .. mais pour l'instant j'ai autre chose à pensser,tu vois.

Il glissa la porte de sa chambre puis entra à l'intérieur.Il était déjà beaucoup plus à l'aise.A l'abri des regard,c'est toujours mieux .. enfin,elle, elle était toujours là.
Il entra dans la seconde pièce,puis enfila rapidement ses affaires avant de jeter cette foutu serviette dans la corbeille à linge.Il passa une main dans ses cheveux puis revint vers son lit.

*Voilà,une bonne chose de faite.*

Orphen regarda Nimiki.

-Bon .. tu veux faire quoi maintenant?

Nimiki le regarda étrangement, puis finalement, elle avait envie d'aller chercher ses flingues dans son armoire, fermé à clef bien entendu. Elle le regarda mais n'y alla pas, parce-que, ce n'était qu'un coup de tête et franchement, il ne vallait pas qu'on use une balle.

"J'en sais rien."

Bah franchement, moi à sa place je les aurais pris mes armes nan mais des fois qu'elle débile. Ensuite elle attendit debout sa réponse qui n'était pas ouhaité mais qui arrivé.

*Bon du calme? On dirait drucère des fois*