Chambre d'Arbagon /!\Attention/!\

Il ouvrit la porte et la lumière, fermant momentanément les yeux. Il entra et invita Orihime à faire de même, pour finalement poser ses valises sur le lit. Une pensée lui traversa l'esprit et il ferma doucement la porte, pouvait-elle se trouver ici? Ba, pour l'instant personne ne le savait. Il se retourna vers elle et prit la parole.

" C'était gentil de ta part de me conduire ici, merci. Enfin, tu veux aller à un endroit particulier dehors? "

Pendant qu'il parlait, ses yeux avaient minutieusement inspecté la pièce dans laquelle il se tenait, elle était bien et pas trop grande, ce qui lui convenait, les choses étaient donc plus près de lui. Il se sentait pourtant légèrement mal à l'aise de la situation, seul avec une personne, qui plus est une fille. Il devait se détendre, il prit une inspiration profonde et ferma les yeux, s'appuyant à nouveau sur le mur, attendant la réponse d'Orihime.

"Oui si tu veux on pourrait aller au Parc?"

Orihime était dans une situation génante elle était dans la chambre d'un garçon.Elle et luis seulement eux deux.Elle était devenue rouge comme une tomate.

*Je crois que il avait remarqué que je commencais a rougir.Je me demandes comment je suis comme je suis en train de rougir?*

Il y avait pensé, le teint de la jeune fille devant lui montrait qu'elle était dans le même état d'esprit que lui, mais le fait qu'elle soit rouge ne le dérangeait pas vraiment, la timidité sera toujours présente chez les gens. Bien qu'il était mal à l'aise et un peu nerveux, son coeur n'accélérait pas, il le contrôlait parfaitement. Son mince sourire ne l'avait toujours pas quitté, c'était plus fort que lui en la voyant si rouge, si elle pouvait savoir qu'il était aussi gêner qu'elle.

" D'accord, l'endroit doit être assez beau j'imagine. "

Il ouvrit la porte et sortit, soupirant discrètement, la tension venait de baisser subitement en lui. Il attendit qu'Orihime soit sortit pour fermer la porte et lui fit un petit signe de tête pour lui montrer qu'il était prêt à partir.

[La suite ici : https://sakura-pension.keuf.net/parc-f54/une-petite-promenadepvarbagon-t126.htm ]

Il était revenu avec Orihime un peu silencieusement que d'habitude. Il ne se sentait pas très bien, il faisait le vide dans son esprit pour évitez de se posez les questions qui tentait de prendre place dans sa tête. Il savait une chose, il ne voulait plus que cela se reproduise, se montrer dans un état aussi minable ne devait pas se faire à nouveau. Il avait adapter son pas à celui d'Orihime, il savait que sinon il aurait marcher vite pour rien.

Quand il arriva au pensionnat, il passa les portes, en cherchant un moyen d'éviter de la quitter. Sa présence lui était agréable et reposante, il ne voulait pas perdre les bienfaits qu'elle lui apportait. Rendu dans les escaliers, il parla enfin, invitant Orihime à venir passer un peu de temps avec lui dans sa chambre, car il ne voulait pas que la colocataire de celle-ci n'arrive ou ne soit déjà là, et lui n'en avait pas, et puis personne ne serait au courant, car vu l'heure, tout le monde risquait d'être déjà dans leur chambre.

Il entra dans l'aile des garçons accompagner d'Orihime, se dirigeant vers sa chambre. Quand il arriva devant la porte, il l'ouvrit et laissa Orihime entrer, avant de la suivre et de fermer la porte, pour ne pas qu'un passant les dérange. Il ouvrit la lumière du plafond et prit place sur une chaise. Tout en montrant le lit à Orihime d'un geste qui lui signifiait de prendre ses aises, il parla une nouvelle fois.

" Écoute, nous nous sommes avouer tout nos sentiments il y a peu de temps. Sur une décision des plus réfléchit, nous avons décider de les accepter, je veux que tu saches que je ne regrette pas cela, mais je voudrais seulement que tout soit claires et je pense qu'après ce que nous venons de vivre l'un et l'autre durant la journée, c'est un moment qui est opportun.

Si jamais tu aurais une question, peut importe laquelle, peut importe qu'elle soit gênante, indiscrète ou choquante, tu peux me la poser et je lui répondrai de mon mieux. Cela ne changera rien à ce que je ressent pour toi, ne t'inquiète pas, mais je veux que tu puisses savoir ce que tu veux et tu en droit de savoir ce que tu veux sur moi. "

Elle lui avait donner son amour et accepter de partager une partie de sa vie avec lui, il trouvait juste de ne pas lui cacher qu'il était. Ce moment était très important pour lui, il espérait bien qu'elle comprenait que c'était une tentative pour lui montrer qu'il ne voulait pas lui cacher rien et qu'elle prendrait le temps de saisir cette chance, de ne plus se poser de question et d'être sûre de ce qu'elle pensait.

Comme Orihime entra dans la chambre elle s'assiya sur le lit,et l'écouta attentivement lorsque il finit de parler elle lui dit.

"Si un jour je me suicide promet moi de pas être triste et de ne pas souffrir à cause de moi.Je sais que tu as déja souffert et que tu souffres encore tout au plufond de toi.Mais tu cachescette faiblesse qui t'envahi defois. "

Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit.

"Si tu veux me poser des questions pose-les je te répondrais en étant honnête."

Elle n'avait donc pas de questions, ce qui le surprenait un peu, mais il ne la forcerait pas à en poser une. Mais il ne pouvait pas lui promettre ce qu'elle lui demandait, c'était impossible et il le savait très bien. Il avait souffert et souffrait encore, comme toute personne sur terre, la souffrance était une partie, une facette, de la vie. Qu'il le masque, c'était uniquement parce qu'il avait appris que les afficher pouvait être dangereux et que sa vie se résumait parfois à des bluffs de maîtres pour se tirer du pétrin.

Puis se fut à elle de lui renvoyer la proposition. Tout comme elle, il n'avait aucune question, il avait très bien pu voir ce qu'il aurait pu se demander, elle n'était pas habituer à cacher ce qu'elle ressentait et il avait pu voir les choses importantes grâce à cela. C'était une chose qui faisait souvent, le physique d'une personne était très révélateur pour quiconque savait interpréter ses messages.

" Non, je n'ai aucune questions, je sais ce que j'ai à savoir et c'est amplement suffisant. Pour ce qui est de ma souffrance, ne me plaint pas, tout le monde souffre, je ne suis pas exempté de cela c'es tout, ma douleur n'est pas plus grande que les autres. Quant à la cacher, c'est seulement que j'ai du le faire durant la majeur partie de mon enfance. "

Il vint s'asseoir sur le lit en arrière d'Orihime. Il entoura la taille de celle-ci avec ses bras et lui dit :

" Arrête de dire que tu vas te suicider, cela n'arrivera pas. "

Il n'aimait pas l'entendre dire cela. Il ne savait pas si elle le ferait ou non, mais il aimait mieux espérer que non. Ce sujet de discussion n'était pas du tout son préférer non plus, il ne voulait plus l'entendre parler de cela comme ci s'était l'évidence même de sa vie. Il voulait changer de sujet de discussion, peut-être quelque chose de plus joyeux.

Comme il n'avait pas plus d'idée que s'habitude, il défit son étreinte et posa ses mains sur les épaules d'Orihime. Avec ses doigts, il commença à exécuter quelques points de pression, car il se dit que cela la détendrait un peu. Il avait appris cela dans le cadre de ses cours d'art martial, dans une compétition, quand un nerf se coinçait, il fallait bien le décoincer. Il avait appris à masser les épaules, la nuque et le dos. Pour une fois, cela lui serait utile.

"J'essayerais de faire de mon mieux pour que on oublie nos douleurs."

Puis comme il vint s'asseoir en arriére de celle-ci et quand il finit sa phrase elle lui réponda.

"Peut-être que ça arrivera,l'avenir nous réserve defois des choses que on voudrait jamais avoir connu."

Elle se laissa masser.Ca l'a détender beaucoup.

Il continua à lui masser les épaules un certain temps. Il pouvait sentir les tensions partir de ses muscles, ce qui signifiait que cela fonctionnait. C'était un moment agréable, tranquille et paisible, un moment de tendresse, c'était vraiment bien, si seulement ces moments si particuliers qu'il avait avec elle pouvait durer.

Doucement, ses doigts remontèrent vers sa nuque. Il y alla doucement, puis ajusta la pression en se fiant à la réaction qu'Orihime avait quand il augmentait celle-ci. Quand il trouva la bonne pression, il continua avec celle-ci. C'était la première fois qu'il faisait ce genre de chose à une autre personne que lui-même, il espérait bien qu'elle appréciait et qu'il le faisait bien. Il poursuivait le massage doucement, heureux de voir qu'elle n'opposait aucune résistance.

" J'adore ces moments si tendres, je t'adore plus que tout mon amour. Je n'appuie pas trop fort? "

C'était un sentiment étrange. Il tenait la nuque d'Orihime et appuyait légèrement à certain endroit. Pourtant, il avait un peu peur de lui faire mal, alors il préférait lui demander.

"J'adore aussi ces moments si tendre de plus si je les passe à tes côtés.Je t'adore aussi.Non ça va,t'inquiéte pas tu me fais pas mal."

Elle le laissa se masser pendant quelques temps puis elle bougea ses mains de sa nuque.Et l'embrassa passionement.

*Je t'aime.*

Il prolongea le baiser d'Orihime. Il la resserra encore un peu contre lui. Il posa une main sur les cheveux de celle-ci et commença les caressa doucement. Il se sentait si bien, le bonheur qu'Orihime lui donnait et lui permettait faisait partit des choses qu'elle faisait pour lui, il lui avait bien dit, des choses simples pouvait être très intenses.

* Si j'avais pu te rencontrer plus tôt. *

Ce genre de personne était rare et il aurait bien aimer l'avoir rencontrer plus jeune. Mais peut-être les choses auraient été différentes sinon. Il y avait de très fortes chances, de toute façon, c'était bien la preuve que la patience était payante. Il était bien content de ne l'avoir connu que maintenant, d'avoir pu être si proche d'elle.

Il la tenait toujours contre lui, prolongeant le baiser encore un peu. Il s'arrête deux ou trois secondes, avant de lui rendre la pareille. Seulement cette fois ci, il passa légèrement sa langue sur les lèvres d'Orihime, allant trouver la sienne, la cajolant amoureusement.

Orihime se laissa faire quelques secondes avant de bouger tout doucement de lui.Puis le silence s'installa.Elle se raidit à sa place.Quoi dire?Quoi faire?Elle avait aucune idée.Elle voulait rester dans ses bras.

Il la laissa bouger, la gardant toujours dans ses bras. Il s'accota dos au mur et appuya sa tête sur celui-ci. Il ferma les yeux, comme il le faisait souvent, plus un tic qu'autre chose. Les moments précédents avaient été des plus plaisant, laissant place maintenant à un moment plus silencieux, qui gardait quand même une certaine éloquence. Il n'osait pas bouger, de peur de gâcher ce qu'il vivait présentement.

Il repensa à tout cela. Il ne savait pas quoi penser, il avait eu un parcours plutôt spécial pour en arriver là. Une journée à se promener et à parler, qui lui avait fait voir une amitié qui ne pouvait pas devenir plus grande. Puis une promenade au cimetière, où il avait fini par être obliger d'apporter Orihime à l'hôpital, où elle lui avait dit que finalement, elle l'aimait tout autant. Cela faisait presque comme les histoires qu'on avait de la difficulté à croire qui venait de personne connue pour embellir la réalité.

Perdu dans ses pensées, il respirait sereinement, laissant son torse se soulever à chaque respiration. Les yeux fermés, il était complètement immobile sinon, dans un état de détente qu'on lui voyait très rarement. Son visage n'était plus le masque qu'on lui reconnaissait quotidiennement, mais affichait une expression de repos. Puis, une de ses mains commença à faire de petit rond sur le ventre d'Orihime, alors qu'il était toujours perdu dans ses pensés

Pendant que Orihime réfléchisait,il s'accota au mur et appuya la tête de Orihime sur lui.Elle n'eut que le temps de voir son visage avec ses yeux fermaient.

Puis il dévena complétement immobile et sur son visage s'afficha une expression de répos.Alors que elle le regardait une des mains de celui-ci commenca à lui faire de petit rond sur le ventre.Elle lui dit doucement dans l'oreille.

"Qu'est-ce que tu veux de moi?"

La voix d'Orihime traversa ses pensés, le prenant par surprise. Un simple murmure qu'elle lui avait dit doucement à l'oreille. Mais pourtant, il ne savait pas quoi lui répondre. Il prit conscience de main qui exécutait les ronds sur le ventre d'Orihime et s'arrêta immédiatement. Gardant les yeux fermés, tentant de trouver que faire et quoi répondre, il fini par être capable de lui répondre.

" Ce que je voudrais là présentement, c'est que tu reste avec moi pour toujours et qu'on ne se quitte plus. "

Il lui fit un sourire, ouvrant les yeux pour la regarder. Elle avait de beaux yeux gris, peu commun, mais rajoutant son charme. Il posa son front contre le sien, se contentant de la regarder avec amour, ne lui avait-il pas dit qu'il ne lui demanderait jamais rien de sa part, il ne voulait pas qu'elle tente de prouver son amour envers lui d'une quelconque façon, il avait qu'elle l'aimait et c'était parfait. Il ne lui demanderait jamais rien, il avait été très clair quand il lui avait dit.

Quand il finit sa phrase Orihime commenca à rougir et lui réponda.

"Moi aussi je voudrais que tu restes avec moi pour toujours sans me quitter."

Elle l'enlaça autour de sa taille et lui prononça quelques mots.

"Je rougis à oui?murmura-t-elle
Je t'aime mon amour et personne ne pourra nous séparer."

Quand elle commença à rougir, son sourire s'élargit un peu plus, cela faisait un petit moment qu'elle n'avait pas rougit à cause de lui et cela était ravissant de la voir ainsi. Il se plaisait en se disant qu'il était quelque peu contraire, lui qui n'affichait jamais rien et elle qui rougissait quand elle était gêner.

" Effectivement, tu rougis, mais cela te va bien et tu es tellement envoûtante quand tu es gêné. "

Chacun dans les bras de l'autre, la situation était particulière et agréable comme peu avant. Pour une fois, on pouvait peut-être discerner quelque chose d'imprécis, un fragment de ce qu'il ressentait, juste à voir sa respiration qui avait accéléré un peu. Non, jamais il ne se ferait séparer, il ne laisserait personne le faire.

" Personne et aucune chose ne pourra nous séparer, je ne permettrait jamais une telle chose. Je te veux à mes côtés pour les années qu'il me reste à vivre et il faudra quelque chose de majeur pour me séparer de toi. "

Il ne la laisserait pas partir, jamais, plutôt mourir que cela. Le doux parfum d'Orihime stimulait son odorat qui était un peu plus sensible que la moyenne. Il se sentait enivrer par l'intensité du moment, il sentit un frisson lui traverser la colonne vertébrale rapidement. Tout semblait si parfait, si intense, ses sens sur lesquels il pouvait se fier normalement, semblaient devenir de plus en plus exciter dans le moment. Il déposa un baiser à la jonction de l'épaule et du cou d'Orihime.

" Tu es si belle, comme une ange, la plus majestueuse de toute les reines qui puisse être. Mon être est à toi et à personne d'autre, je suis tout entier à ta disposition. "

"Je connais quelque un qui aime quand je rougis."dit-elle avec une petite voix amusée.

"Moi aussi je te veux à mes côtés pour les années qu'il me reste à vivre."

Elle sentit un frisson traverser son corps.Et puis Arbagon déposa un baiser à la jonction de l'épaule et du cou .Et dit que il était tout à lui.Il l'éxcitait de plus en plus que Orihime commencait à dire des choses plutôt bizarre.Puis elle lui dit.

"Toi aussi t'es trop mignon mon amour.Alors tu viens de dire que ton être est à moi et que tu es tout entier à ma disposition.Hein?Trés intérresant^^"

Puis elle mit sa main sur ses cheveux et commanca à les caresser.

"Alors qu'est-ce que je vais faire de toi,tu es tout entier à ma disposition".

Puis elle lui fit un petit sourire interéssé même un trop contente.

Il rit de bon coeur avec elle. Ce qu'elle voulait faire de lui était son choix à elle et non le sien. La main qui parcourait ses cheveux continuait à faire monter en lui cette sensation bizarre, ce désir d'être à elle corps et âme. Elle souriait à nouveau, c'était si bon de la voir ainsi, il aimait mieux la voir dans cet état d'âme si en tout cas.

" Le moindre de tes désirs, la plus farfelue de tes envies, les choses impossibles et défendus, tu as le choix et je suis sûr que les idées ne te manque pas. "

Il l'embrassa passionnément. Le moment était magique, comme isoler de la souffrance et la noirceur de la vie quotidienne. Il n'y avait plus que lui et elle, plus un amour naissant. Il n'avait plus aucune notion du temps, il ne voulait même pas savoir l'heure qu'il était et le temps qu'il avait et passerait ensemble, c'était des détails rendu inutiles maintenant. Avec regret, il décolla ses lèvres de celles d'Orihime, plongeant son regard dans ses yeux.

" Alors, tu sais ce que veux faire de moi? "

Il sourit une autre fois à celle-ci.

"Le moindre de mes désirs?Alors on essaie de séduire encore une fois monsieur Arbagon?"

Elle lui fit un petit sourire satisfait.

"Non,je ne sais pas quoi faire de toi.Les idées me manquent.Peut-être que tu pourrais commencer à me donner quelque idées."

*Alors qu'est-ce que je pourrais lui faire hein?*

Il se retint de rire à la première phrase d'Orihime. Si elle voyait cela ainsi, peut-être oui tentait-il de la séduire à nouveau, mais en quoi cela était grave? Et puis, c'était toujours mieux qu'il s'y prenne avec elle qu'une autre. Même dit sur un ton sarcastique, le monsieur lui laissai une impression bizarre, il ne pouvait pas dire pourquoi, mais il n'arrivait pas à de faire à l'idée qu'elle venait de le dire.

" Faut bien que je te séduise, sinon je n'aurais rien à faire. Et puis, j'aimerais mieux que tu ne dises pas monsieur trop souvent. "

Il était bien surpris de l'entendre dire que les idées lui manquait, il s'était attendu à ce qu'elle en aille énormément, car ce n'était pas vraiment chose courante, mais c'était peut-être que le fait qu'elle hésitait à lui demander. Le fait qu'elle lui demande de lui donner des idées l'embêtait un peu, il n'avait aucune idée de ce qu'elle pourrait apprécier. Il s'approcha doucement de l'oreille de celle-ci pour y murmurer.

" Allons ne me dis pas qu'aucune pensée ne te passe par la tête. Tu sais très bien que mes limites sont très élevées, ce ne devrait pas être très difficile. Quant à te donner des idées, je ne sais pas moi ce que tu veux et que tu aimerais, tu vas vite découvrir que tu n'est pas tomber sur un garçon original. "

"Si ça te dérange que je t'appelle monsieur,je t'appellerais plus comme ça."

Comme il finit de parler.Elle fit un petit sourire content.

"Ce que me passe pas la tête?Rien d'intérresant et toi est-ce que y a quelque chose qui te passe dans ta tête?Hein?"

Puis elle déplaca ses mains jusqu' à atteindre son collier.Pour le lui détacher.

Décidément, elle ne voulait vraiment pas rien lui demander. La question lui semblait un peu dérisoire, comment ne pourrait-il pas penser à plusieurs choses dans un moment pareil. Il y avait énormément de penser et de sensation qui se bousculait dans sa tête, la tournure des événements lui laissait une multitude d'idée et de désir.

Quand elle détacha le collier, il la laissa faire. Pourtant même dans un moment comme celui-ci, il n'aimait pas ce que le fait de l'enlever causait, mais il se doutait que ce serait mieux ainsi. Il regarda Orihime le poser sur le bureau, gardant toujours son sourire, quoi lui dire? Il semblait bien qu'il était piégé et qu'il n'avait plus possibilité de se sauver. Il lui répondit, toujours dans un léger murmure.

" Il y a tellement de chose dans ma tête, comment pouvoir rester indifférent à un moment pareil. "

Avec délicatesse, il fit allonger Orihime, arrivant juste au dessus d'elle. Penchant légèrement la tête, il l'embrassa à nouveau, amoureusement, passionnément. Il laissa le tout se poursuivre un peu, avant de s'arrêter et de la regarder dans les yeux. Les yeux d'Arbagon était brillant, peut-être même pouvait-on y apercevoir une petite flamme, on pouvait voir clairement ce qu'il ressentait et cet envie qui l'envahissait peu à peu.

" Orihime ... je t'aime tant. "

"Moi aussi je t'aime Arbagon.Et tu le sais trés bien."

Elle se bougea de ses bras,se léva puis resta raide pendant quelques secondes.Elle le regarda passionnément.Et alla l'allonger.Elle pencha sa tête et dit avec une petite voix.

"Tu désires quelque chose de moi?"

Elle voyait que il avait une envie qui l'envahissait doucement.Dans ses yeux brillant elle pouvais voir qu'il l'aimait et qu'il ferait n'importe quoi pour elle.

Quand elle se dégagea de ses bras, il ne su pas comment interpréter cela. Avait-il été trop brusque, aurait-il du faire quelque chose d'autre? Il voyait bien son regard, la passion qu'il dégageait, mais cela n'enlevait pas se doute qui venait de prendre place en lui. Comment avait-elle prise ses actes, qu'en pensait-elle, il se dit qu'il venait peut-être de faire une erreur.

Quand elle revint vers lui, il ne se dit qu'il devait faire plus attention à ce qu'il faisait. Elle lui posa à nouveau la même question, sur une petite voix, cette question à laquelle il avait répondu plus tôt. Mais à ce moment, trop de chose se mêlait dans son esprit et il ne voulait pas faire de bêtise. Il soupira un peu avant de répondre.

" Je ... ne sais pas ... ou plus. Je ne ... désir ... de toi que ... je ... ce que tu veux bien m'accorder ... et pas plus. C'est seulement que ... j'ai perdu ma raison dans le moment ... je n'aurais peut-être pas du ... excuse moi. "

Il avait eu un peu de mal à tout dire. Chaque fois qu'il disait quelque chose, une partie de lui-même n'était pas forcément d'accord. Il sentait d'infime tremblement l'habitait, ses yeux était maintenant aussi confus que ses pensées. Il ne voulait pas qu'Orihime ne pense en mal de ce qu'il venait de dire et il tentait de faire de l'ordre dans ce qui lui traversait l'esprit. Il leva sa main et commença doucement à caresser la joue d'Orihime.

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