Premier cour

Sarasara arriva dans sa nouvelle salle de classe. Il installa sa télévision dans un coin de la classe(avec Wii et Super Smash Bros brawl bien sûr!), sa bibliothèque. Il installa la moitié de sa classe en dojo, puis l'autre moitié avec des bureaux puis un tableau. Il fini d'installer les armes sur les murs, puis sa réserve personnel derrière une armoire.

*Bien! Je suis prêt pour mon premier cour... Ah oui, j'oubliais.*

Il installa deux pancarte près des vestiaires, un indiquant celui des filles et l'autre celui des garçons.

*Fini! J'espère que ça va bien allez....*

Sarasara regarda l'élève arriver en classe. Du premier coup d'oeil, il ne l'aimait pas. Il le voyait du genre tête enflée.Voyant que personne n'arrivait, il decida de tester cet élève...

"Bonjour. J'aimerai bien savoir votre nom, s'il vous plaît. Moi, je m'apelle Sarasara Kôji."

Il regarda toute les armes que cet élève avait apporter.

"Aussi votre arme de prédilection. Car je vois que vous êtes un habituer."

Toshiro leva un peu la tête et le regarda droit dans les yeux le prof lui demanda son nom et son arme de prédilection

- Je m'appelle Toshiro Hitsugaya et je n'ai aucune arme de prédilection

Toshiro regarda son prof dans les yeux

- Dites pourquoi vous me juger avant même de me connaître ?

Toshiro avait deviner dans le regard de Sasara ce que celui ci pensé, mais il ne pourrais plus le faire car directement le prof montrer une exprétion totalement différente

"Car été habituer à être comme cela. N'être un arme de massacre, tel un animal. Et jugée une personne, jusqu'à son moindre mouvement, et être prêt à agir, c'est la seule manière de survivre où j'ai voyager. Et j'ai appris que mes premières impressions était souvent fausse... Mais qu'elles étaient vraies aussi. Comme le fait que je saches que tu sais très bien manier les armes. Je suis ici pour vosu apprendre à penser comme moi... Et à utiliser cette avantage comme il se doit. Et voyant se que tu as, je compte te trouver une arme de prédilection. Je ne tiens pas à faire du favoritisme, mais viens avec moi. J'ai peut-être quelque chose qui pourrais te servir..."

Sarasara marcha jusqu'à son armoire.

"Alors, tu viens?"

Toshiro ne dit mots mais soupira quand le prof eu enfin fini son bavardage insignifiant. mais Toshiro était quand même interresser par cette homme qui se croyais fort et avoir tout vue

- Je me bat avec toute les armes, je me bat plus souvent au katana mais si vous me donner une lance je sais aussi la manier aussi bien que mon katana, j'ai fais la guerre messieurs peut être pas aussi violente que les votre mais j'en ai fais et je sais ce qu'est le plaisir d'entendre votre arme se planter dans la chair d'un homme et le crie d'agoni de celui ci avant de mourir. Ne me sous estimer pas trop quand même.

Toshiro souriat et se dirigea vers le prof qui était près d'une grande amoir qui devait sans doute renfermer des armes .

Toshiro qui était pourtant interressé par les paroles du prof entendit du bruit au fond de la classe quelqu'un venait de rentré, il avait pris une chaise et s'était installé, Toshiro eu un sourir noir, il fallait bien l'acceullir tout de même il mis sa main dans sa manche et d'un geste vif et sans bruit il lança le couteau qui se planta dans la table du nouvel arrivant

- Quel joie de te revoir ici mon ami si on peut se califier comme ça

Toshiro se dirigea vers Elias laissant le prof avec un petite excuse pour au moins dire bonjour a son camarade, il tendit la main vers Elias pour que celui ci la serre et récupera son poignard avec l'autre

Elias, un coude posé sur sa table pour maintenir sa tête, regardait Toshiro et le professeur.

Toshiro le vit enfin et son couteau se planta dans la table d'Elias.
Il récupéra le poignard qu'il tendit à Toshiro, tout en lui serrant la main.

"Bonjour, tu as l'air en forme. Mais ce n'est pas sympa de commencer à âbimer le mobilier dès le premier cours..."

Elias eu un petit sourire malicieux envers son ami, puis salua de loin le professeur qui le regardait à présent.

- Ce n'est qu'un tout petit trou tu vas pas pleuré, et puis dans tout les cas si tu veut vraiment pas avoir de trou on change de table et j'en rachéte une

Toshiro sourit et rangea son couteau dans sa manche

- Je croyais que tu ne te battais plus que fais tu donc ici ?

Toshiro regarda Elias d'un air neutre et d'un regard sans expression.

Elias passa sa main sur la table et regarda ensuite Toshiro.

"Pas la peine, mais bon, quand même..."

Il le regarda ranger son couteau et haussa les épaules en guise de réponse à sa question.

"Ce n'est pas parce que je ne me bats pas que les combats sont sans intérêts pour moi. Et puis, j'avais dit au tout nouveau professeur Kôji que je participerai à son cours.
Donc me voilà."

En tout cas, ce que pensait Elias était fondé, Toshiro était bel et bien là pour se battre.
Comme quoi, chassez le naturel...

Sarasara sourit en regardant ses deux la se "battre" verbalement... Il en avait vu, des guerres, ne commencer que pas le fait que deux "amis" se disent des bêtises. Bref, il se lassa bien vite des ses "amitiés". Sarasara pris un bout de bois dans chaque main, puis le lanca à chaque élève: Au milieu du front d'Elias et derrière la tête de Toshiro, puisque Toshiro était dos à lui et qu'Elias était face à lui. À la force que Sarasara avait lancer les bouts de bois, Elias devrait avoir un peu mal à son front pendant une semaine, alors que Toshiro aurait un beau bleu derrière la tête pour une semaine.

"Je ne veux aucune bataille non officiel dans mon cour."

Sarasara se rapprocha des deux élèves.

"Toshiro, je te l'ai envoyer se bout car tu as âbimer MA table. Elias, je suis désoler, mais en tant que professeur, je dois considérer que les deux son fautif. Au fait, Toshiro... Tu ne participeras pas au exercice pratique jusqu'à nouvelle ordre. J'ai dit que je savais tuer. J'ai dit qu'il était bien d'être capable de savoir d'avance se que son adversaire fait. Mais j'ai jamais dit qu'on devait prendre plaisir à tuer! Un vrai guerrier ne tuer pas par plaisir. Et un vrai guerrier ne fait aucune chose inutile... Ou bien rarement. Tant qu'à toi, Elias, Je ne t'oblige pas à prendre par aux exercices pratique. À se que j'ai pu comprendre, tu ne combat plus. Bien. Si tu ne veux plus combattre, je ne te forcerai pas..."

Il bénéficia Elias d'un sourire chaleureux, alors qu'il regarda Toshiro d'un regard voulant dire "Prouve moi que tu n'ai pas stupide et n'essai rien..."

Toshiro reçu le baton sans broncher comme si il n'avait rien sentit il l'attrapa avant que celui ci ne tombe, il se tourna face au prof

- Je tue parce que j'en est besoin, une vrai guerrier ne porte pas d'allégeance et fais ce qu'il veut un soldat se tais et obéit je suis ni l'un ni l'autre

Toshiro resista a l'envie de l'empaler mais le simple fais d'imaginer de le voir au bout de son sabre lui suffisait mais son ergard devint quand même noir envers le prof, il le savais il n'aimais pas les cours et n'aimais pas les profs alors pourquoi était-il venu , parce qu'il aimait se battre bien sur

- Pourquoi je ne participerais pas ? parce que je tue pour le plaisir ou parce que j'ai fais un petit trou dans votre table ?

Elias fronça les sourcils en se passant une main sur le front.

"Moi aussi je suis très heureux de vous revoir professeur."

Evidemment, il avait toujours du second degré en tête. Et puis, certes ça faisait mal, mais après tout, pas plus que de se faire tabasser.

Contrairement à Toshiro, il n'avait aucune envie de répondre à cette attaque physique. Ce qu'il trouvait étrange de la part du professeur, c'est de s'excuser après l'avoir frappé. Mais bon, il passa outre.
Il resta à écouter Toshiro parler, ne tenant pas à prendre part à une telle discussion.

"Parce que tu es idiot. Lorsque tu sera se que veux dire "se battre", tu viendra me voir. Et non, se battre ne veut pas dire tuer et gagné. Et lorsque tu apprendera que la dernière chose à sauvegarder lors d'un combat, c'est ta vie, tu participera. Aussi lorsque tu apprendera se qu'est un vrai guerrier. Je ne veux aps te déplaire, mais soi sûr que tu restera faible jusqu'à ce que tu comprenne cela... Peux importe qui tu vaincera, même moi."

Il regarda l'heure, puis se vira vers les élèves.

"Bon, commençons le cours. Aujourd'hui, cours théorique. Ceux qui ne sont pas content peuvent partir, je ne les retient pas..."

Sarasara donna deux cahier aux élèves, puis parti au tableau.

- Rester faible, vous avez fais la guerre et vous croyez encore que se monde et tout rose et que personne ne veut votre peau un jour ou l'autre vous mourez, peut importe par qui je m'en fou ou naturellement peut importe, mais soyez sur que vous vous trompez largement sur mon compte, le jour ou vous cromprendez pourquoi je tue on pourras peut être s'entendre.

Toshiro pris le livre et s'installa sur un bureau a proximité d'Elias, il mis le livre au milieu de la table, il le feuilleta et regarda le prof attendant la suite aucune expression sur son visage et ses yeux était éteint de toute lueur.

Sarasara arrêta à mis chemin entre le tableau et l'endroit où il était, puis parla a Toshiro.

"Toshiro, tu reste après le cours..."

Puis il alla au tableau. Il écrit exactement ceci au tableau:

Philosphie: Qu'est-ce que le mal.

Et il s'assit Sur sa chaise, à l'avant de sa classe.

"Bien. Comme vous pouvez le voir, nous allons parler du bien et du mal. Car il est bien de savoir comment se battre, mais il est mieux de savoir pourquoi se battre, et vers quoi on est pencher le plus. Dans le sens qu'on est plus porter soi à faire le mal, soi le bien. Alors répondé à ceci; Qu'est-ce que le mal selon vous? J'attend vos réponse..."

Après que la question du professeur ait été posée, la porte de la classe s'ouvrit lentement, juste un peu pour apercevoir le visage d'une jeune fille qui vérifiait si elle était bien dans la bonne salle avant de s'y aventurer trop vite. La vérification terminée, elle ouvrit complétement la porte pour libérer le passage et pénétrer dans la classe ou elle aperçu déjà deux personne assis au bureau et le professeur à son bureau.

*Aïe.... en retard...*

Un petit sourire gêné s'afficha sur son visage, montrant qu'elle s'excusait de son retard involontaire. Elle avait été retenue par son sommeil profond...

- Euh.... excusez-moi... Monsieur.

D'un pas lent, mais prudent, elle s'approcha du prof tout en se mettant en face de celui-ci et de s'incliner briévement pour le saluer avant de prendre place en face, sur la gauche de Sarasara, pour suivre le cour attentivement. Des rougueur de gêne apparure sur son visage lorsqu'elle s'était assise, apparement, le retard ne l'arrangeait pas du tout... Elle dû détourner son regard pour tenter de cacher au mieux ses rougueur avant que quelqu'un ne les remarques.

Sarasara regarda la jeune fille entrer dans sa classe, puis se placer face à lui pour s'incliner brièvement pour le saluer, pour s'assoir à sa place. Sarasara prit un cahier, et alla le porter à la nouvelle venue.

"Ce n'est pas la peine de vous excuser, mademoiselle. Nous venions à peine de commencer."

Il s'inclina à son tour devant elle, puis souria chaleureusement à la jeune fille. Puis il retourna à l,avant de la classe.

* Décidément, mes manières de gentlement vont me suivre toute ma vie...*

"Je vous demanderai de me donner votre nom, s'il vous plait, que je puisse noter votre présence comme il se doit. Ensuite, j'aimerai que vous répondiez à la question que j'ai poser à Toshiro et à Elais. Je vais la répéter: Qu'est-ce que le mal selon vous?"

*J'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose... Ah, oui! Je me rapelle!*

"Je tiens à préciser qu'aujourd'hui, ce n'est qu'un cour théorique."

Kôji amena un cahier à la jeune fille et s'inclina à son tour pour la saluer. Elle saisi le carnet, décidement vide. Dés qu'elle le posa devant elle, le professeur lui demanda alors son nom pour qu'il puisse la noter sur la liste de présence...

- Je m'appelle Reverie... Reverie Metherlence Monsieur.

Après, elle se baissa légèrement pour sortir de son sac de quoi écrire et le posa devant elle, sur son bureau et Sarasara vint à lui poser la question qu'il avait déjà posée aux deux autres personnes présente dans la piéce. Elias et Toshiro. Reverie se tourna vers eux et elle leur fit un petit sourire ainsi qu'un geste de la main pour les saluer et elle se remit en face du tableau où était le prof...

*Qu'est-ce que le mal selon vous?*

Un coude appuyé sur le bord de son bureau ainsi que son menton posé sur le dos de sa main. Elle se m'y à réfléchir à comment elle pourrait y répondre sans trop devoir se prendre la tête. Ses yeux fixé sur sa main libre qui s'amusait à faire tourner entre ses doigts un stylo. Mais apparement, après quelques minutes, elle ne trouva pas de bonne explication pour lui répondre convenablement. Ce qui la gêna assez...

- Ben... Disons que... Pour nous c'est le mal parce que c'est notre point de vue mais... pour les personnes en face... "les méchants" c'est nous. En faite, je ne saurai pas trop comment expliquer cela... C'est compliquer à décrire... Peut être que je dis tout faux.

Après avoir exposé sa piétre hypotése, un silence suivit. Elle fixa le prof un moment avant de détourner le regard, gênée et timide...

Elias n'avait pas remarqué Réverie, en fait, il était trop occupé à sortir tout son attirail du "bon petit élève", celui que lui avait conseillé un vendeur de grandes surfaces, du rayon fournitures scolaires. Elias avait décidément l'air ridicule lorsqu'il s'agissait d'avoir des relations, ou pire, de paraître normal.
Il avait levé cependant la tête quand elle avait dit son nom. Il lui avait fait un petit signe de la main qu'elle n'avait sûrement pas vu, étant donné qu'elle n'y avait pas répondu.
Il avait ensuite regardé le professeur, afin d'écouter ce qu'il avait à dire, mais comme il s'adressait à la jeune femme, il se tourna vers elle.
Il se découvrit par ailleurs une réelle passion pour ce stylo qu'elle faisait tourner entre ses doigts.
Il prit un stylo de sa trousse et essaya de faire la même chose, sans succès. Il rattrapa le stylo avant qu'il ne tombe et le reposa dans sa trousse.
La jeune fille répondit à la question.
Elias, qui ne savait pas non plus qu'il fallait demander la parole avant de la prendre poursuivit :

"En fait, le mal c'est ce que l'on ne doit pas faire à autrui, parce que si on nous le faisait, on aimerait pas ça."

Evidemment, Elias ignorait de même que quand on répondait à une question, il fallait argumenter...
Ce cours était décidément mal parti pour lui.

Toshiro écouta toute les propositions une part une avant de dire la sienne

- Le mal c'est quelque chose que l'on fais autrui sans son accord, " les méchants" sont ceux qui le font souvent ou tout le temps ca dépend les personnes, le mal et toujours de la même intensité que se soit un meurtre ou même un coup de poing volontaire dans tout les cas ca fais mal et on l'a fais en pleine conscience.

Toshiro soupira et se dit qu'il venait de se décrire, le méchant mais après se petit soupir il eu un sourir noir et baissa la tête pour cacher son sourir a tout le monde. alala tout ce qu'il pouvait raconter comme conneries

"Je dirai que Reverie est plus près de la bonne réponse... Car elle a dit que c'est une question de point de vue. Voici la grande base de se cours, et la raison pourquoi j,ai commencer avec cette question: le point de vue. Se que vous penser de quelque chose peut-être fondamental dans un combat. Bref, pour revenir à la question, le mal est tout se que vous m'avez dit. C'est la personne que nous combattons, comme voulais surement dire Reverie, c'est se qui cause des chose que nous ne voulons pas subire, comme la dit Elias, et c'est quelque chose que l'on fait sans l'accord d'autruit, et qui commis volontairement. Si vous voulez savoir, il n'y a pas vraiment de réponse à cette question. Selon moi, le mal est celui qui perd."

Repensant à se qu'il venaint de dire, Sarasara se dit qu'il devait des explication. Il inscrivit ceci au tableau:

2e guerre mondial

Puis il se retourna vers les élèves.

"Vous connaissez certainement la 2e guerre mondial. Et vous savez comment elle a fini. Les alliés, à force de combattre, on réussi à battre l'alliance que c'était fait l'Italie, qui est tombé en premier, le Japon, qui a été battu en dernier avec la bombe d'Iroshima, et l'allemagne, qui a été vaincu lorsque Hitler c'est sucider. Mais, imaginer un instant que Hitler ait réussi à battre les Alliés, et ai finalement conquis le monde. La seule chose que voulait faire cette personne, c'était un monde meilleur... Certes, les allemands était avantagé, mais tout les autres aurait été égaux. Que dirions-nous aujourd'hui? Certainement que nous avions été stupide de combattre les nazis. Mais puisqu'ils ont perdus, ce sont eux le mal. Mais si les Alliés aurait perdu, se serait eux le mal. Vous comprennez?"

Elias sortit de sa Rêverie (haha) quand le professeur inscrivit le sujet au tableau. La Seconde Guerre mondiale. Voilà qui promettait d'être intéressant. Il se redressa sur son bureau, le dos droit, les mains serrées.
Il hocha la tête en signe de désapprobation. Non, ça il ne l'avait pas compris.

"Cela m'étonnerait que si les Alliés avaient perdu, nous serions aujourd'hui pour l'idéologie d'Hitler.
Vous dites que ceux qui perdent sont le mal : faux. Lors de la Première Guerre mondiale, l'Entente a gagné contre l'Alliance, mais pour autant, le peuple allemand n'était alors pas considéré comme le mal. C'était un ennemi, et il y a eu conflit.

Or, sous le règne hitlérien, de nombreux allemands qui croyaient d'abord en lui (il a éradiqué la famine en allemagne, le chômage n'avait jamais été aussi bas...), ce sont réveillés en apprenant ses sacrifices et ses vraies idées. De nombreuses associations résistantes ce sont créées, en France certes, mais aussi en Allemagne, je prendrais ici l'exemple de "die Weisse Rose", la Rose Blanche.
Le monde a d'abord pris Hitler comme un fou, et ensuite comme un criminel.
Certes, les collaborateurs existaient, des gens qui préféraient faire allégeance au Führer et à son idéologie plutôt que s'insurger contre elle.
Mais ils étaient moins nombreux que ceux qui étaient contre cela. Et c'est ce qui a fait la victoire des Alliés.

Mais voilà, même si je suis contre cette idéologie hitlérienne et que je suis pour cette victoire.
Je considère que les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki sont une énorme erreur des américains, qui a coûté la vie a des civils qui n'avaient rien à voir avec cette guerre, et pour ça je vous renvoie au roman autobiographique Le Tombeau des Lucioles. Et je ne dis pas que le Japon était le Bien, puisqu'ils ont tués eux aussi de nombreux américains à Pearl Harbor (et de japonais kamikazes).
De plus, le régime russe qui s'est installé en Allemagne de l'Est suite à cette guerre est une nouvelle erreur, qui a fait encore une fois de nombreuses victimes, souhaitant passer à l'Ouest et a installé la famine en Allemagne.

Alors là-dedans, où est le mal, où est le bien ? Etant donné que je suis à la fois contre certaines des idées des Alliés, et contre le système imposé par Adolf Hitler."

Ouf, Elias avait parlé. C'était son problème lorsqu'il était passioné par quelque chose, on ne pouvait pas l'arrêter avant qu'il ait fini. Sa mère lui avait souvent reproché cela, déjà en étant petit...
Il se rassit, s'appercevant qu'il s'était levé pour parler, ne se rappellant pas vraiment à quel moment. Il se souvint juste des images de livres et de films passant en boucle dans sa tête.