Premier cour

- J'ai pas tout suivit au blabla d'elias mais j'ai retenu l'essentiel et je trouve qui la raison si la personne vaincu est le mal ca veut dire que toutes les personnes que j'ai tuer était des méchants donc en clair j'ai fais que des bonnes actions

Toshiro sourit il n'a plus a aller en prison si tout était des bonnes actions et non des meurtres

- Ca me va bien dans le sens du prof mais la vérité c'est Elias qui la tiens

Reverie s'étant retourné pour observer Elias parler tout en donnant son idée, notait de sa main droite quelques notes de ce que disait le jeune homme qu'elle trouvait intéressant et elle leva la main calmement, mais pris la parole sans attendre.

- Ce que tu dis est intéressant... Où est le bien et où le mal? tu as dis cela avant de finir ton récit si j'ai bien compris non? Donc... si je me trompe pas, sa revient à ce que j'ai relever, si? C'était une question de point de vue aussi mais faut surtout pas oublier que les Allemands avaient aussi la rage de se venger de la défaite et l'humiliation que lui ont causer les alliés à la défaite de la première guerre. Bien sûr, je ne dis pas que c'est une bonne chose, au contraire, Hitler était devenu parano par son ivresse de pouvoir et à complétement débloquer qu'alors, avant, comme tu l'as dis, il était considérer en quelques sorte comme un sauveur avant de se planter gravement dans la mauvaise voie. Mais les allier on pas fait mieux, Hirosima, comme tu l'as soulevé mais aussi l'humiliation qu'ils ont infligés aux allemands après la première guerre. en bref... Dans une guerre, le mal est partout et tout le monde est perdant, il n'yà personne qui en sort vainqueur vu qu'il y à des pertes des deux côtés... personne ne peut vraiment se dire "je suis le gentil et lui le méchant" vu qu'il aura recours à la violence, parfois sous une forme différente mais qui reste de la violence... Les gentils sont "Pacifique"... Mais oublie pas qu'en Europe, même les pays neutres ont contribués à la guerre pour leur petit bénéfice, soit à vendre des chambres à gaz, comme les Suisses par-exemple ou les Autrichiens, soit à permettre les passages des convois Allemands et alliés à travers leur pays. Donc, tout le monde à participer, que sa soit économique ou violence. Le mal était partout, les cinglés aussi tout comme les paranos...

Elle se tourna face à Toshiro.

- Déjè, lever une arme contre quelqu'un est un signe de violence, qui est sinonyme à "mal". Donc, tuer n'est pas une bonne action je trouve. Mais comme j'ai dis, chacun son point de vue...

Après cela, Reverie se tu est fut stupéfaite de ce qu'elle venait de dire. Mais elle se demanda même pas si que ce qu'elle avait dit avait au moins un sens. Mais cela, c'était le prof qui souléverait les éventulles gourdes commises. Elle se rassit en face du professeur et attendis en faisant tourner son crayon entre ses doigts, voyant en même si quelqu'un allait exposer une autre hypotése.

Elias regarda Toshiro et sourit au mot "blabla". Pour une fois que le jeune homme exposait un point de vue, on lui disait que c'était du blabla.
Puis, ce fut Reverie prit la parole. Il l'écouta attentivement, s'appercevant qu'elle parlait d'abord à lui avant de s'adresser au reste de la classe.
Elias hocha simplement la tête en signe d'approbation. Il était tout à fait d'accord avec ce qu'avait dit la jeune fille, elle ajoutait des informations en plus de ce qu'il avait dit.

"Oui, je vois les choses comme toi je crois."

Puis, il regarda le professeur en quête d'une réponse plus exacte. Il ajouterait sûrement quelque chose sur ce qu'ils venaient tous de dire.
Finalement, il était bien content d'être venu à ce cours.

Toshiro tomba la tête la première contre la table qui claqua bien fort

- je comprend plus rien je préfére les exercices pratiques plûtot que la philosophie et les complexes politiques

Reverie dit que lever une arme sur quelqu'un était synonime de "mal"

- Peut être mais le prof a dit que si tu était battut tu était compté comme le mal donc si je tue quelqu'un je le bat donc forcement j'ai tuer le mal donc en téhorie j'ai rien fais de méchant j'ai enlevé un monstre de cette planète

Toshiro et regarda Reverie

- Mon point de vue ? j'en est pas j'ai une phrase pour me guider " Tue avant dêtre Tuer "

Elle se retourna vivement face à Toshiro...

- Hum... je vois, tu es le genre à te foutre dans les ennuis pour taper les autres après, hm? Et pis, chaque coeur à une partie de ténèbres, sa c'est sûr. Tout le monde peut être désagréable ou même agressif, mais lorsque que tu portes un coup c'est mal, même pour tuer un humain taré, tu es mal quand même... Le terme "pacifique" restera pour surnommer les gentils, Toshiro...

Elle lui tourna le dos après lui avoir jeté un regard glacial sur ce qu'il avait dis. Les paroles du jeunes était extrêment stupides au yeux de Reverie, mais bon, elle n'allait pas insister sur sa façon d'agir. Il le remarquerait bien un jour qu'il est mal en quelque sort...

Elle se tu et observa le professeurs pour écouter sa réponse...

*Je crois que je vais me plaire dans cette classe... Sauf pour un certains cas.*

Il regarda Toshiro, et s'adressa à lui

"Tu as tout faux, Toshiro. Tu vois, se que j'essayais d'expliquer, c'est que la personne gagnante est toujours le "bien" et la personne perdate sera toujours le "mal". Sarasara se retourna vers toute la classe. Si vous connaissez bien votre histoire, remarquez qu'à chaque coup, ou presque, chaque personne considérer comme le "bien" gagne, comme dans le cas des Alliés dans le dernier exemple, et chaque personne considérer comme le "mal" perd, comme dans le cas des Nazis. Même si le mal n'est qu'une idéalogie, regarder comment à chaque fois, le pouvoir en place était considerer comme le bien. Imaginez: Alexandre le Grand, Napoléon, Jules César... Tous de grand commandant. Mais regarder se qu'il ont fait: il n'ont fait que conquérir..."

Il réfléchit un peu, puis se radressa à toute la classe.

"Si vous réfléchisser, la personne qui nous ressemble le plus et qui nous avantage le plus est le "bien", alors que celui qui nous avantage le moins et qui nous ressemble le moins est le "mal". Pour un petit enfant, l'histoire du chaperon Rouge doit toujours finir par la mort du loup. Mais pour les loups... Le Chaperon rouge se fait manger. Comprennez vous que se que j,ai formulez n'est qu'un point de vue, et que ce n'est que selon se que nous avons vécu et se que nous sommes que nous pouvons décidez?"

- Qu'on a raconter tout ça pour dire que des homme ont choisit pour l'avenir de leurs pays et leur soif de pouvoirs un avenir meilleur pas plus que ce que je viens de comprendre

Toshiro lança un crayon en l'air et le rattrappa

- Moi j'ai compris que des hommes comptaient comme "bien" on en faite fais du "mal" mais c'st deux choses n'ont était que des points de vue choisis par la populations car il faut donner un nom a leurs actions et voila je pense que ca ce résume a ca

toshiro se grata la tête assez fière de son petit discours

"Et bien, mon cher Kuroro, se mal considerais déja se qu'il fesait comme "bien", et considerais que se que le "bien" fesait était "mal". Puisqu'il a gagné, il montrera a tout le monde que se qu'il fait est "bien", et même si le monde ne veut pas le considerer comme bien, ils finiront par agir comme lui. Et de toute façon, la n'est pas la question: Je me suis laisser... emporter. Le but était du vous faire analyser un sujet de fond en comble. Un question comme ça, il n'y a aucune mauvaise réponse, comme il n'y a aucune bonne réponse. Dans les cours théorique, nous allons apprendrè, au début, à analyser des sujets comme celui que j'ai dit, et aussi des sujet où vous aurez à prendre parti. Ensuite, je vais vous apprendre comment analyser un terrain à vue et au toucher, et ensuite utiliser se terrain à votre avantage. Alors votre but, aujourd'hui, était d'analyser une certaine question. Et je peux vous dire que vosu m'avez impressionner à certains moment..."

Il offrit un sourire chaleureux à ça classe, et même avec les cicatrices qui marquait son visage, il avait l'air... chaleureux. Il regarda le nouveau venu.

"Tu es chanceux que se soit le premier cours... Sinon, tu aurai eu un cours à reprendre. Mais je te fais un cadeau, tu en aura pas."

Sarasara retourna son regard vers sa classe.

"Ah, oui, j'oubliais: Il devrait avoir des cours où on ne parlera que d'histoire, et aussi des cours pratique, où vous pourrez découvrire des armes et même vous spécialiser dans le maniement d'une d'entre elle. Cela vous va comment plan pour l'année scolaire?"

Sarasara était... décourager. Mais il fit de son mieux pour que cela ne paraisse pas.

*Mer.. Voilà que j'ai manqué mon coup, et cela dès le premier cours! Je suis sûr d'avoir un prix... Pour le professeur qui se serait fait renvoyer le plus vite possible...*


"Disons, Kuroro, que je comprends parfaitement que tu trouve illogique se que je viens de dire, mais comme on a chacun nos point de vue *J'ai l'impression de ne les avoir fait parler que de cela pendant presque un cours...* , il faudrait certainement plusieurs heures pour qu'on se comprenne l'un l'autre. Puisque je tiens a finir sur une note plus "joyeuse", deux bonnes nouvelles: Premièrement, Aucun devoir pour le prochain cours, si se n'est le petit conseil que je vais vous donnez ave la deuxième bonne nouvelle. Deuxièmement, vous allez maintenant choisir l'arme que vous souhaiter apprendre à manier; je vais ensuite vous apprendre comment la manier comme il se doit, et je vous en fait cadeau; cependant, je peux la reprendre à tout moment si vous n'agissez pas selon les règles que je vais inscrire au tableau à la fin du cours. Voici le petit conseil: Je serai certainement dans l'école jusqu'au prochain cours. Je vous conseil de vous pratiquez, et si vous en avez besoin, de venir me voir. Si je ne suis pas dans cette classe, l'endroit que je serai sera marquer sur la porte. Alors voilà..."

Sarasara parti vers un mur, puis fis coulissé une porte coulissante. Il y avait de tout dans cette armoire: Des sortes de bilboquet géant, des rapières, des épées de toute sortes, des faux, des massue, de fouet... Bref, toute les armes imaginable(ou presque). Il se retourna vers ses élèves.

"Ne faites pas les timides. Je vous laisse choisir l'arme que vous voulez. Je sais que se cours à du paraitre bizarre et peut-être même pénible pour certain. Au fait, Toshiro, tu pourra prendre pars au travaux pratique; Cependant, change tes mentalité à propos du combats, sinon je changerai encore d'avis..."

Sarasara regarda toute les armes, puis pris une épée géante, une épée à deux qui avait l'air difficile à manier. Cependant, il la soulevait comme si de rien était, même si c'était à deux main.

"J'ai dit que vous pourrez prendre toute les armes.. Mais j'enlève celle la du choix. Désoler."

Toshiro ne pris pas part au blabla du nouveau venu et du prof mais fus très interressais quand il ouvrit l'armoire il y avait des armes a l'intérieur le prof it qu'ils pouvaient se servir mais que Toshiro devait changer sa mentalité de combat

* oui devant vous....*

Toshiro se leva et se rendit a l'armoir, il observa d'un oeil expert les lames finement forger et fraichement aiguiser, il porta sa main a une hache de combat à deux mains avec une tête de mort qui relier les deux lame, il la fis tourner autour de lui sans difficulté et avec beaucoup d'adresse il posa finalement la hache sur son épaule, l'arme était imposante mais le jeune homme suporter facilement son poids, il se retourna et dit

- Je prend ça !

Respirant légèrement, Reverie s'était assoupie sur son bureau, les bras croisé sur la table et la tête posé dessus, le visage caché par ses cheveux qui passaient devant. Les sons de la classe lui parvenait mais comme elle était à moitié endormie, elle ne se rendit même pas compte de la présence d'une nouvelle personne ni des conversation qui avait lieu entre celle-ci et ce qui lui semblait être la voix du professeur Kôji.

Bref... Son sommeil l'avait attrapée au mauvais moment, encore une fois et elle devrait sûrement encore une fois en prendre la responsabilité. Trop fatiguée, elle ne put se réveiller suffisament pour se redresser alors, elle se laissa endormir lentement, plongeant dans l'obscurité....

Elias regarda Kuroro avec un air étonné. Il le regarda de pied en cap, ils ne se ressemblaient pas vraiment. Enfin, Kuroro ne ressemblait ni au père, ni à la mère d'Elias...

"Qu'est-ce que tu racontes ? Je n'ai pas de frère."

Il se leva pour suivre le professeur et remarqua Reverie qui restait sur son bureau, comme assoupie. Il s'accroupit à côté d'elle et murmura à son oreille.

"Reverie, réveilles-toi, il faut aller à l'armoire."

Il vit au loin son "frère" qui choisissait une arme en félicitant le professeur. Elias haussa les épaules et les rejoignit en passant doucement la main sur le bureau de Reverie, tapotant légèrement dessus pour qu'elle se réveille avant que le professeur ne la remarque.
Il s'approcha de l'amoire. Rien ne l'intéressait.
Il regarda le professeur et lui demanda :

"Quelque chose à me conseiller... ?"

Puis, il s'apperçut que Kuroro était encore près de lui.
Il le regarda, pensant qu'il lui parlerait après le cours. Car sa déclaration lui paraissait tout de même étrange...
Peut-être était-ce un frère de Kelly... Il lui demanderait plus tard, mais Kuroro semblait vouloir en parler au plus vite.

Toshiro avait toujours la hache sur l'épaule et ignoré encore et toujours les blablas pas interressant mais quand Elias essaya de réveiller Reverie et que celle ci ne se levait toujours pas Toshiro se dirigea vers la table de la jeune fille, il s'aggroupis pour avoir la tête au même niveau que celle de Reverie et dit simplement

- Debout il n'est pas vraiment l'heure de dormir

Toshiro regarda le visage endormi de la jeune fille elle était assez jolie dans son genre.

"Je ne peux pas vraiment te conseiller, Elias, mais... Explique moi se que serait ton genre. Si tu veux mon exemple, je préfère les armes lourdes, difficilement maniable mais qui utilise beaucoup de place: Cela me permet d'être puissant tout en défendant aussi bien. J'aime aussi les gantelets d'armes. Avec cela, c'est comme utiliser du taïjutsu, ou bien n'importe quel autre quel technique de combat corps à corps, tout en permettant de se proteger des armes blanches. Aussi, c'est l'arme la plus rapide et précise que je connais, car c'est avec ton propre corps que tu attaque. Mais, comme j'ai expliquer, c'est selon ton style."

Sarasara entendit Kuroro dire qu'il était nerveux. Il se retourna rapidement vers lui.

"Je ne suis pas nerveux. Je suis juste... déçu que le cours n'ai pas été exactement comme je le pensait."

Sarasara remarqua que la petit Reverie était endormie... Il décida de la laisse, et de toute façon, Toshiro était avec elle...

*Je vais la laisser dans sa "Reverie"... Hahaha! Elle a l'air fatigué, la pauvre... J'irai la voir après le cours.*

Elias regarda le professeur et dit alors :

"Bien, je prendrai les gantelets, même si je ne vous promets pas de les utiliser."

Il prit donc ce que le professeur lui tendit.
Puis, il regarda Kuroro avec attention.
Il ne répondit rien, puis, lorsqu'il se présenta, il lui tendit la main, comme si c'était à n'importe qui qu'il parlait et lui dit :

"Je suis Elias Tôda, mais je suppose que tu le sais déjà..."

Elias imaginait déjà qu'il lui dirait plus tard que son rai nom était Kapowski... Mais il ne dit rien, pour ne pas paraître offensant.
Son frère hein ? Non décidemment Kuroro n'avait rien à voir avec sa famille, ni son père ni sa mère n'avait les mêmes traits que lui... Et puis, il a dit frère, non pas demi-frère. Alors, là, ça paraissait encore plus improbable...
Toujours dans ses songes, Elias regarda Reverie qui était encore assoupie... Il lui parlerait à la fin du cours, elle avait déjà failli s'évanouir une fois, et maintenant elle s'endormait...

Elias acquiesça lorsque Kuroro lui dit qu'il était enchanté.

-De même...

Puis il fit un mince sourire au professeur, pour lui confirmer, comme venait de lui dire son frère, qu'il se rattraperait.
Il vit Kuroro regarder dans la direction de Reverie et fit de même. On aurait dit un chat, c'était assez plaisant à regarder.
Il remarqua que Kuroro regardait ensuite son portable et se demanda ce qu'il devait faire.
Il retourna donc à son bureau, posa les gantelets sur la table, et s'assit sur sa chaise, le dos droit, face à son bureau, commençant à dessiner quelques armes vues dans l'armoire du professeur Kôji dans son cahier, avec l'aide d'un stylo noir.

Sarasara regarda l'heure. Il vit que le cours terminait dans environ 5 minutes. Il s'adressa à la classe.

"Bon, maintenant que vous avez vos armes, je vous laisse partir... Le cours est terminer pour aujourd'hui. Je vous recontacterai pour le prochain. Cepandant, j'aimerai te voir, Reverie. J'ai a te parler."

Et Sarasara s'en alla à son bureau. .

*Pourquoi est-ce qu'elle n'est pas venu? N'aime t'elle pas les armes? Je vais lui demander...*