Reviens du toit (pv Orihime) /!\Attention/!\

Lorsque il lui dit qu'elle n'était pas obliger et si elle aimerait attendre,elle lui répondit avec une voix rasurée.

"Mais non,t'inquiéte pas si j'en avais pas envie je le ferais pas.De toute façon j'en ai trop envie,je ne peux pas résister."

Puis il lui mit le condom,et s'approcha doucement de sa tête pour lui embrasser son cou sensuellement.Aprés lui fait un suçon et le mord gentiment.Puis lui demande...

"Tu aimes cela?"

Quand elle finit de lui démander si il aimait,elle l'embrassa téndrement et laissant sa langue jouer avec la sienne.Quelques instant plus tard elle arrêta le baiser et lui démanda avec une vois pluôt provocatrice.

"Tu as pas des idées?"

Il s'était douté de cette réponse, mais au moins, maintenant il était sûr. Il la laissa faire, profitant de cette sensation nouvelle, différente des autres, mais tout autant agréable. Elle s'y prenait plutôt bien aussi, bien qu'Arbagon savait que c'était la première fois qu'elle devait une chose pareille. Quand elle remonta vers lui, il se laissa redescendre le dos sur le lit, Orihime arrivant juste au dessus de lui. Il lui dit un sourire en guise de félicitation.

Quand les lèvres se posèrent sur son cou, il ferma les yeux, c'était si bien. Quand il sentit le suçon de sa partenaire, il soupira légèrement, ce n'était pas que cela le dérangeait, mais c'était une chose qu'il n'avait jamais vraiment comprise. La morsure ne le prit pas par surprise, cela faisait déjà plus qu'une fois qu'elle lui faisait pareille chose, il s'habituait et y prenait plaisir. Quand elle lui demanda s'il aimait, il lui murmura doucement sa réponse.

" C'était parfait, j’apprécierai toujours ce que tu feras pour moi, on devrait faire sa plus souvent. Sinon, je suis maintenant marqué comme ta propriété. "

Il rendit le baiser, leur langue se réunissant tendrement, sans se presser, profitant du temps qu'il pouvait passer ensemble. Il n’était plus du tout endormi maintenant, son réveil était maintenant terminer suite à la suite de stimulant qu’il avait eu depuis qu’il ne s’était éveiller. Puis Orihime lui demanda s’il n’avait pas une idée, il ne savait pas vraiment, mais une idée lui germa dans l’esprit. Pourquoi pas une petite séance de torture ? Qui sais, peut-être aimerait-elle.

" Oui, j’en ai plusieurs. Je me demande bien si tu pourrais apprécier. "

Il avait dit cela sur un petit ton pensif, qui était fait exprès pour la situation. Il regarda Orihime, lui rendant la provocation et une étincelle d’excitation dans les siens. Il se dit qu’il valait mieux commencer doucement, par des choses plus simples, qui ne risquait pas de lui faire trop de mal immédiatement. Il fallait qu’il découvre ses limites, ses inhibitions et ce qu’elle était prête à faire ou non. Dans sa tête, des idées tordues prenaient forme.

Il fit allonger Orihime sur le lit, un sourire sadique au visage. Ce serait un début frustrant, mais sans douleur. Il prit les premiers morceaux de tissu qu’il trouva et avec facilité, attacha les pieds et les mains de celle-ci au lit, elle voulait voir le monde des tortures, elle le découvrirait. Ce n’était pourtant pas un domaine qu’il aimait exploiter normalement, mais comme il savait qu’elle était consentante et qu’elle ne souffrirait pas, c’était différent. Maintenant qu’elle était bien attacher et qu’elle pouvait à peine se tortiller, il pouvait commencer. Il posa doucement sa main sur le ventre de sa petite amie, commença doucement à faire de petites caresses. Quand elle ne pourrait plus tolérer, il pourrait continuer la chose plus loin.

[Je tiens à préciser que les tortures qui suivent ne sont que sous la demande d'Orihime]

Quand il lui dit cela:" C'était parfait, j’apprécierai toujours ce que tu feras pour moi, on devrait faire sa plus souvent. Sinon, je suis maintenant marqué comme ta propriété. " elle lui souria et lui répondit avec un air malicieux.

"Contente que ça t'es plu,si tu veux le faire souvent tu devras le mériter,non?Et oui maintenant tu m'appartiens et je peux jouer quand je veux avec toi"

Puis il répondit à son autre question qu'elle lui avait poser,il y répondit qu'il en avait plusieurs et qu'il se demandit bien si elle pourrait les apprécier,lorsque il finit de dire cela,elle lui fit un grand sourire et y réponda.

"Bien-sûr que je les apprécierais,c'est tout de même tes idées."

Aprés il la fit allonger sur le lit,avec un sourire sadique aux lévres,elle ne comprit pas tout de suite son idée et se laissa faire.Mais à sa grande surprise il attacha ses mains et ses pieds,avec les premiers morceaux de tissu qu’il trouva et avec facilité en plus,même qu'elle arrivait plus à se bouger.Quand il finit de l'attacher il commença doucement à faire de petites caresses sur le ventre d'Orihime,elle sentit des petits frissons parcurirent son corps.Et cette sénsation lui plaisait beaucoup.Pourquoi?Elle ne le savait pas mais sentait du plaisir aux petites caresses qu'il lui faisait.Aprés avec un air sadique elle lui dit.

"Si c'est ton idée,elle est magnifique,j'adore les petites caresses sourtout quand c'est toi qui me les fait."

Aprés elle lui lança un régard malicieux en atténdant sa réponse.

" Content que cela te plaise "

Il avait dit la phrase sur un air détacher, son air sadique toujours présent. Arbagon était complètement perdu dans ses pensés, imaginant la suite, voyant une série d'images qui lui venait sans effort. Étant une personne renfermer, son côté plus cruel ne s'exprimait pas souvent, alors il ne se plaindrait pas d'un peu de divertissement, bien qu'il était très limité et que ces idées les plus agréables soient impossibles à faire. Il ignorait toutefois d'où venait cette facette de lui, se disant qu'il l'avait depuis la naissance.

Doucement, pour faire durer la chose, il agrandit la zone que sa main cajolait. Celle-ci alla sur les jambes et les côtes d'Orihime, s'appliquant avec attention et précision. Dans un premier temps, la chose était banale, agréable. On ne sous-estimait pas le pouvoir qu'une telle banalité avait par exemple. Avec le plaisir, venait l'excitation et avec l'excitation, venait l'envie. Qu'arrivait-il quand l'envie n'arrêtait pas de grandir sans être combler? Un doux supplice sans douleur ou plutôt, sans que lui ne lui en cause, elle aurait probablement des maux quelconque sous l'excitation.

" Alors, c'est toujours agréable? "

Orihime essaya de se detacher et n'y arriva pas,aprés quelque temps elle eut marre d'y pas arrivait et detacha viollement les bouts de tissu,et embrassa Arbagon puis se bougea du lit et dit:

"Viens me chercher!"

Elle commenca à marcher,à courir puis elle cogna sa tête sur le bord de la chaise car elle voyait plus rien dans le noir.Elle sentit son corps tomber puis le noir profond.Son sang avait déja commencé à couler peu à peu.(Dans son rêve)Aprés elle re ouvrit ses yeux et vit les tombes de ses parents,elle ne comprenais pas trop ce que lui arrivé mais aprés avoir vut une tombe où il y avait ecrit Orihime Osaki,elle comprit enfin que elle était morte.Seules quelques larmes coulérent de ses yeux et elle alla s'asseoir prés des tombes de ses parents.

"Je crois qu'il est venue temps que je vous rejoigne."

Avec le temps, il perçut de petits mouvements nerveux, elle commençait à voir où la torture menait, son sourire s'agrandit encore un peu. Il la vu essayer de se détacher, mais il n'y parvint pas, normal, Arbagon savait ce qu'il faisait après tout. Il fut toutefois surpris qu'elle puisse se défaire de ses liens en usant de force, il avait du faire une erreur à quelque part alors. Il stoppa ce qu'il faisait histoire de laisser à Orihime le temps de se reprendre, laissant agréablement durer le contact de leurs lèvres. Puis Orihime se releva et sortit du lit, qu'est-ce qu'elle faisait? La phrase le fit soupirer, il n'avait jamais été très attirer par ce genre de jeu, courir partout n'était pas son activité préférée. Il resta donc assis sur le lit en attendant de voir ce que ferait Orihime. C'est alors qu'il entendit l'impact, et un autre après.

Il se releva et trouva rapidement le corps de sa petite amie étendu sur le sol. D'un mouvement de main, il alluma une petit lumière proche et vu qu'elle était inconsciente, bien qu'elle respirait toujours. Il fallait croire qu'il portait un peu malheur, cela faisait un nombre considérable de fois qu'elle se blessait en sa présence après tout. Il remarqua aussi qu'un peu de sang coulait de la tête d'Orihime, en général ce n'était pas nécessairement mauvais signe, la tête était assez solide, mais il s'inquiéta quand même un peu. Doucement, il fit un bandage à Orihime et la déposa avec délicatesse sur le lit. Avec douceur, il lui remit les vêtements qu'elle avait enlever la veille et commença à ce changer à son tour. Quand il fut près, Arbagon retourna près du lit.

Toujours assise pret des tombes de ses parents Orihime vit une lumiére blanche qui l'attirait,elle resta quelque temps à l'observer et la toucha.Soudain ses yeux s'ouvrirent et elle vut un plafond peu eclairé.Puis elle vit Arbagon,et elle lui démanda.

"Il s'est passé quoi?Je ne comprends pas grand chose,la derniére chose que j'ai resenti c'est mon corps qui heurté le sol."

Un petit mal à la tête lui vint soudain et le toucha et remarqua qu'elle avait un bondage.Aprés elle prit Arbagon dans ses bras et le serra fort en essayant de se recomforter au prés de lui.

"Pourquoi j'ai ce bondage?"

Et elle le regarda trés calmement en attendant une réponse.

Comme il allait prendre Orihime dans ses bras pour la transporter à l'hôpital, elle reprit conscience. La réponse qu'elle lui donna le rassurant dans le sens où elle n'avait rien de vraiment grave physiquement, mais le dépita d'un autre sens. L'amnésie qui venait de prendre part d'elle le figea un moment. Elle se souvenait de lui, mais de ce qui s'était passer il y a quelques secondes et avant. Qu'est-ce que cela voulait dire? Quoi faire? Avait-elle seulement oublié les événements ou absolument tout ce qu'elle avait appris aussi? Son regard calme et posé analysait doucement sa petite amie qui était étendu sur le lit.

" Tu ne te souviens vraiment de rien? Je veux dire, tu te rappelles de moi, mais tu dois te rappeler d'autre chose? "

Comme elle découvrait le bandage qu'il lui avait rapidement fait, elle semblait surprise. Même qu'elle le serra excessivement fort dans ses bras, du réconfort? Il la prit à son tour délicatement dans ses bras et s'assit sur le lit, le dos au mur. Il appuya gentiment la tête de sa petite amie sur son épaule et caressa ses cheveux roux avec délicatesse. Quoi faire, quoi lui dire, comment seulement réagir? Une larme coula de son oeil et à ce moment il vu comment il était impuissance, comment il ne pouvait rien et puis, que c'était sa faute. S'il n'avait pas fait ce petit manège, elle n'aurait pas agit ainsi, n'aurait pas fait sa collision et n'aurait pas perdu la mémoire.

" Tu t'es cogner durement la tête, c'est sûrement pour sa que tu te rappelle plus de tout. Orihime ... que dois-je faire, que puis-je seulement faire? "

Il l'embrassa tendrement, une deuxième larme montant dans son oeil. Qu'avait-il fait? C'était de sa faute.

Quand celui-ci lui démanda si elle se souvenait de rien elle resta quelques sécondes à reflechier et répondit.

"Non,je me souviens pas des evenements passaient maintenant y a quelques minutes mais je sais que tu t'appelles Arbagon."

Et elle lui souria,puis quand elle vit une larme couler de son oeil,elle caressa doucement sa joue et dit.

"Je sais que tu penses que c'est de ta faute mais tu ne devrais pas te sentir coupable c'est pas de ta faute comme je sais que defois je fais trop la fofolle,ça doit être sûrement de ma faute."

Elle resta dans ses bras sans se bouger et laissa les choses faire,mais est-ce qu'ils pourraient rester comme ça jusqu' au matin?Non ils ne le pourraient pas Arbagon peut-être mais elle,elle serait trop faible.

"On fait quoi maintenant?Car ça nous servira à rien de rester planter ici à se lamenter."

Quand elle parlait de plus en plus sa blessure commencait à lui faire encore plus mal,et elle se bougea des bras de clui-ci et s'allonga.

"Excuse-moi mais je me sens pas bien ma tête commence à tourné et je vois presque tout flou."

Il la laissa s'étendre sur le lit. Pas de sa faute, ce l'était en quelque sorte, mais elle ne comprendrait pas. En plus, elle n'avait plus mémoire des évènements passés, alors cela aurait compliquer les choses, mais bon. Il lui semblait qu'il portait malheur à Orihime depuis quelque temps, les choses devenaient si difficiles, il détestait en quelque sorte ce changement dans sa vie. Il changeait, il ne savait plus, avait-il déjà su? Dur, voilà ce qu'était devenu la réalité depuis quelque temps, était-ce par ce qu'il n'avait jamais été bien avec quelqu'un d'autre qu'elle et qu'il n'était pas habitué à vivre ce genre de chose? Des questions, encore et toujours, sa tête en grouillait, parfois elle semblait vouloir exploser.

" Je n'ai aucune idée de ce que l'on devrait faire. "

Elle parla que sa tête tournait, ce n'était pas du tout bon signe, même très mauvais. C'était quand même une blessure à la tête, qui plus est assez important pour lui faire perdre la mémoire, il n'aimait pas les effets négatifs que causait la blessure. Doute et incertitude, il en avait si peu souvent, il détestait cela aussi, même qu'il haïssait cela. Quoi faire, que devrait-il être fait à vrai dire? La solution qui semblait la plus logique restait l'hôpital, quoi de mieux que des médecins pour dire ce qui était arriver, la guérir et dire quoi faire pour l'aider, mais Orihime n'aimait pas les hôpitaux, cela il le savait. Pourtant.

" Je sais bien que tu n'aimes pas trop les hôpitaux, mais je crois qu'il serait mieux d'y aller, vraiment. Je n'aime pas te voir ainsi, j'ai peur, je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose de pire, mieux vaudrait s'assurer que ce n'est pas trop grave. Je ne te demande que cela, une petite visite pour être sûr. "

Son regard pour une fois se brise de son habituelle indifférence pour se faire suppliant et inquiet. Sa main caressait gentiment la joue de sa petite amie, légèrement tremblante. Mais bon dieu, que lui arrivait-il? Encore cette faiblesse qui montait en lui, comme la dernière fois, il ne pouvait plus se cacher derrière son apparence habituellement forte, elle venait de le déserter. Il n'était rien de plus qu'un homme faible cherchant à atteindre un but impossible, seulement cela. * Faite qu'elle accepte d'y aller, s'il te plait mon amour, ne me refuse pas cela. *

Quand elle vit le regard d 'Arbagon devenir inhabituelle,elle songea à vouloir aller à l'hôpital mais elle ne voulait pas car elle se sentait pas trop bien pour y aller,elle n'avait pas trop envie de voir des médecins,leurs outils et sourtout l'hôpital.Alors elle réflechit encore et décida d 'y pas aller car si ça se voit ça serai qu'une petite blessure parmis autres qu'elle s'était faite avant.Aprés elle répondit.

"Je suis desolé mais je ne veux pas y aller et tout ce que j'ai besoin c'est de dormir,car ces jours si je n'arrive pas à dormir et mes rêves sont des trés affreux.Car voir encore leurs morts me fait beaucoup de mal.Excuse moi si je te fais du mal en réfusant to, choix mais ça passera,tu verras demain j'irai mieux comme d'habitude."

Ne sachant pas trop sa réaction elle s'assit sur le lit prés de lui et prit sa main contre les siennes et la caréssa doucement.Que dire de plus pour qu'il comprenne que c'était pas de sa faute.Elle ne savait pas mais comme elle se souvenait encore de son rêve où elle avait une tombe,elle démanda...

"Tu crois que tu serais plus heureux avec una autre que moi?Si je disparais un jour quelle serait ta réaction?"

Elle ne savait pas pourquoi mais ses questions sortirent de sa bouche tout seuls comme ci que quelqu'un d'autre parler à sa place ou qu'elle voulait pas demander ces choses ci.Même si elle croyait les lui avoir déja démandé.

"Excuse-moi mais je veux aller prendre l'air."

Puis elle courra vers la porte l'ouvrit car elle était fermé à clé et commenca à courir jusqu'au parc.

Elle refusa, il soupira d'exaspération, il ne pourrait pas la convaincre. Pourtant, il était inquiet, si elle avait perdu la mémoire ce ne devait pas être seulement qu'une petite blessure. Il avait lui-même horreur des hôpitaux, pas pour la même raison, mais quand même, il ne refuserait pas de se faire soigner en cas de besoin seulement. C'était déchirant, la vie l'était en faite, elle nous donnait un petit moment de répit, nous faisait s'accrocher à une personne, puis tentait de nous l'arracher en même temps que notre volonté de vivre. C'était sa façon de passer le temps fallait croire, peut-être que cette chose ne connaissant pas l'âge qu'était la vie, voulait s'amuser elle aussi. Une brute subtile aux manières efficaces. Si seulement il avait pu naître grec au temps des philosophes, Arbagon y aurait eu sans contredit sa place. Mais, la question de sa petite amie le frappa plutôt fortement. Il referma sa main sur celle d'Orihime.

" Non, je ne veux que toi, je ne veux pas te perdre! Heureux? Je ne l'ai jamais été plus que maintenant, tu as réussis à me redonner une partie de mon humanité que j'avais perdue. Personne d'autre ne pourrait te remplacer, tu es la première que j'ai aimée et je n'en veux pas d'autre. Et si jamais tu disparaissais ... je ne sais pas. Ce serait dur, très dur, ne me fait pas cela s'il te plait. Je te l'ai dit, je suis à toi, je ferais ce qu'il faudra pour que tu sois heureuse, demande moi uniquement. "

Elle lui avait déjà demandé cette question, mais sa perte de mémoire pouvait jouer sur l'oublie de ce fait. Il la regardait tendrement, c'était elle qu'il aimait, pas une autre. Bien sûr, il y avait d'autre fille agréable à côtoyer, mais pas avec qui il partagerait ce qu'il partageait avec Orihime. Il ne savait plus quoi faire, tout allait mal, depuis quelque temps, malheur arrivait par dessus malheur sans arrêt. C'était une nouvelle façon que la vie avait trouvé pour le tester? Il ne se laisserait pas faire, il se battrait pour garder Orihime, il ferait tout ce qui est possible et impossible pour elle. Prétextant un besoin de grand espace, elle couru à l'extérieur de la chambre, Arbagon laissa un moment s'écrouler, encore des complications, encore quelque chose qui tournait mal. Il se releva et marcha à l'extérieur, referma la porte et partie vers la seule place qu'il savait Orihime désireuse d'aller, le parc, comme à leur première rencontre. Pas besoin de courir à l'intérieur, il pourrait facilement la rattraper dehors.

[suite : https://sakura-pension.keuf.net/parc-f69/rattrape-un-amour-qui-fuit-pv-orihime-t997.htm#23013]

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